Des braconniers surpris (Fize-le-Marsal)

Le 16 février 1790, le Chanoine DESFORGES (?) et les sieurs DEMY (?) et JACOBY (?) sont surpris à braconner à Fize-le-Marsal, avec des fusils et des chiens d’arrêt.

L’arsenal de Jean Dominici (Oreye)

Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, DOMINICI Jean stocke des armes (fusils, révolvers, mitrailleuses, munitions, …), pendant des semaines, dans une cave bien cachée de la gendarmerie d’Oreye. Malgré de nombreuses visites, les Allemands ne la découvriront pas. Il livrera ces armes à la Résistance.

Des prisonniers rue Joseph Wauters (Waremme)

Le 12 mai 1940, des centaines de soldats belges, qui ont passé la nuit à Waremme (chez l’habitant ou à la belle étoile) sont faits prisonniers par les Allemands. Ils sont rassemblés sur le trottoir de la rue Joseph Wauters, de l’Hôtel de Ville jusqu’à la place du Roi Albert 1er. L’autre trottoir est couvert de leurs havresacs, casques, bottines, ceinturons, fusils, mitrailleurses, …, amoncelés sans ordre. Ces prisonniers seront emmenés, en colonnes, jusque Tongres.

Charles Lejeune, réélu bourgmestre (Waremme)

Le 18 octobre 1830, LEJEUNE Charles-Michel-Joseph est réélu bourgmestre de Waremme, lors des premières élections communales « belges ». Sa réélection est saluée par des décharges de fusils et d’arquebuses.

Les troubles sociaux liégeois gagnent Waremme

Le 25 mars 1886, des ouvriers grévistes manifestent à Waremme aux cris de « Vive la République ! ». Le bourgmestre libéral LEJEUNE Jules rappelle les gendarmes partis pour Jemeppe et Seraing (en grève depuis le 19 mars) et demande que la Garde Civique soit armée de fusils et de baïonnettes.

La rue de Huy, au-delà du Viaduc (Waremme)

En août 1914, au-delà du viaduc de la rue de Huy à Waremme, il n’existe pratiquement alors aucune construction. La rue est bordée de noyers. Ils seront abattus par les Allemands pour alimenter en bois leurs fabriques de fusils.

Une bande de brigands pénètre dans Waremme

Le 16 juin 1697, une bande de brigands, armés de fusils, pénètre dans Waremme, force la maison d’arrêt et délivre un détenu, accusé de garrottage et d’assassinat. A la suite de cet acte audacieux, un poste fixe de 30 soldats sera installé dans la ville pour prévenir le retour de semblables attentats.