Isidore Crotteux chez une guérisseuse (Waremme – Longchamps – Ardenne)

Le 5 septembre 1891, CROTTEUX Isidore-Gérard-Joseph, le garde du château de Longchamps à Waremme, va se faire soigner en Ardenne, chez une prétendue guérisseuse.

Le baron rend visite à Isidore Crotteux (Waremme – Longchamps – Liège)

Le 23 août 1891, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond rend visite à CROTTEUX Isidore-Gérard-Joseph, le garde de son château de Longchamps à Waremme, à l’hôpital des Anglais à Liège.

Isidore Crotteux à l’hôpital (Waremme – Longchamps – Liège)

Le 14 août 1891, CROTTEUX Isidore-Gérard-Joseph, le garde du château de Longchamps à Waremme, se rend à l’hôpital des Anglais à Liège.

Quelques habitants de Bettincourt

En 1903, habitent à Bettincourt:

  • BEURRE Alexandre, garde-champêtre
  • GIELEN Pierre, garde (champêtre ?)
  • HEYA François, maçon
  • LAVAL Alfred, cordonnier
  • ROUA Henri, journalier

Le garde Isidore Crotteux (Waremme – Longchamps)

En 1903, CROTTEUX Isidore est le garde particulier du château de Longchamps à Waremme.

Paul Fremder est arrêté par les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 9 décembre 1943, le Résistant FREMDER Paul, membre du Groupe « Zoro » de l’Armée Secrète, est intercepté par une patrouille allemande, à Momalle. Alors qu’il tente de s’enfuir à vélo, il est gravement blessé par balle, à la cuisse. Il est transporté à la clinique Joseph Wauters, à Waremme, où il est gardé par trois Feldgendarmes.

Mort de Joseph Martinaux (Waremme)

Le 26 novembre 1941, à 21 heures, MARTINAUX Joseph-Louis, âgé de 21 ans, victime d’un accident de chemin de fer, alors qu’il montait la garde à la voie ferrée, deux jours plus tôt, décède à la Clinique Notre-Dame de Waremme. Lors de l’accident, il a eu la colonne vertébrale fracturée et des contusions multiples.

Certains Waremmiens n’ont pas rempli leur rôle !

En novembre 1691, plusieurs bourgeois se plaignent auprès du Conseil communal de Waremme de ceux qui étaient chargés de monter la garde aux portes de la ville, mais qui n’avaient pas rempli ce rôle, permettant aux troupes françaises de pénétrer facilement dans la ville et d’y bouter le feu.

Des prisonniers sont enfermés dans l’hôtel de ville (Waremme)

Le 9 octobre 1678, le Comte DE NASSAU vient camper à Waremme avec sa suite. Il amène avec lui 160 prisonniers qui sont logés à l’Hôtel de Ville, sous la garde de plusieurs soldats. Il restera à Waremme durant 1 mois.

La défense de Waremme se réorganise

Le 1er mars 1595, le Conseil de la ville édicte un règlement : la confrérie Saint-Sébastien des arbalétriers de Waremme ne suffisant pas à défendre la ville, tous les bourgeois sont astreints à prendre les armes et à monter la garde le jour comme la nuit.

Les bourgeois incapables de porter les armes, ainsi que les femmes veuves, sont frappés d’une taxe spéciale pour subvenir aux frais et nécessités des gardes.