La maison du gardien (Waremme)

Le 26 juillet 1855, la Conseil Communal de Waremme débat de la maison du gardien du cimetière et de l’engagement d’un deuxième garde-champêtre.

Bagarre à Oleye

Le 16 septembre 1778, LEJEUNE Gilles (?), d’Oleye, bat « à sang coulant » RENARD François, qui garde les bêtes à laine de MACAR Jean, dans la campagne au-delà du Geer.

Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)

Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:

  • Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
  • Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.

Joseph Orban, sacristain et organiste (Remicourt)

En 1907, ORBAN Joseph est désigné organiste à Remicourt. II exercera cette fonction jusqu’en 1912. ll est également sacristain.

Parallèlement, il est gardien de nuit à la sucrerie du village.

Mort du Père Sante (Waremme)

Le 17 juin 1779, le Gardien (Supérieur ?) du couvent des Récollets de Waremme, le Révérend Père SANTE Toussaint, décède à Waremme (?).

Follette, gardien (Crisnée)

En 1940, FOLLETTE garde le « pont à péage », lancé par-dessus le Rouâ, à Crisnée.

Le gardien du cimetière (Waremme)

En avril 1873, Monsieur BRICTEUX est le gardien du cimetière de Waremme.