Les voyageurs de 3ème classe (Waremme)

En 1865, 88% des voyageurs, qui embarquent en gare de Waremme, empruntent la troisième classe.

Les voyageurs en 3ème classe (Waremme)

En 1845, 78% des voyageurs, qui embarquent en gare de Waremme, empruntent la troisième classe.

Fréquentation de la gare (Waremme)

Entre 1855 et 1880, le nombre d’embarquements en gare de Waremme est en augmentation: il passe d’une moyenne de 30.000 à près de 70.000.

Fréquentation de la gare (Waremme)

Entre 1838 et 1853, le nombre d’embarquements en gare de Waremme est assez stable: en moyenne 25.000 par an (et ne dépasse pas 30.000)

Démontage de voies (Waremme)

En 1992, l’ancien embranchement particulier à 6 voies, dont disposait la Sucrerie Centrale de Wanze à la gare de Waremme, est démonté.

Embranchement ferroviaire mis hors service (Waremme)

En 1987, l’ancien embranchement particulier à 6 voies, dont disposait la Sucrerie Centrale de Wanze à la gare de Waremme, est mis hors service.

Embouteillages à Waremme

Le 1er octobre 1867, pour remédier aux embouteillages dans la commune, causés par l’afflux de tombereaux de betteraves vers les deux sucreries, le Conseil Communal de Waremme prend les mesures suivantes:

  • Les chars venant de Waremme doivent monter la rue de la Station du côté gauche et descendre par la rue Sous-le-Château.
  • Le stationnement est interdit rue de la Station, à hauteur des raccordements ferrés vers les deux fabriques.
  • Aucune voiture ne peut emprunter la rue Sous-le-Château, à partir de la maison « DERUISSEAU ».
  • Les chars venant de Longchamps doivent contourner la gare par l’empierrement qui aboutit près de la maison « BERTRAND ». Les autres transports doivent continuer par la rue Sous-le-Château, sans s’arrêter.

En cas d’infraction à ces mesures, une amende de 5 à 10 francs sera appliquée.

Construction d’une sucrerie (Waremme)

En 1866, les bâtiments de la Société d’Agriculture Industrielle sont en construction, près de la gare de Waremme. Plus d’un million et demi de briques seront nécessaires à cette construction. Le gérant de cette sucrerie sera Monsieur MOMMENS.

Florent Pressia, manutentionnaire (Lantremange – Remicourt)

En janvier 1945, PRESSIA Florent de Lantremange, travaille à la gare de Remicourt, lieu de transit pour les armes et les munitions qui arrivent du port d’Anvers.

Il décharge les lourdes caisses des wagons de chemin de fer et les recharge sur des camions GMC de l’armée américaine. Pour ce travail, il est payé 1000 francs par semaine.

Nicolas Mangon, marchand de charbon (Waremme)

En 1954, MANGON Nicolas exploite un commerce de charbon, gaz et mazout, installé au n° 27 de la rue de Huy, à Waremme. Il dispose d’un raccordement ferroviaire avec la gare.