Des logements dans l’ancienne gare (Fexhe-le-Haut-Clocher)

En avril 2016, le CPAS de Fexhe-le-Haut-Clocher aménage 4 logements dans l’ancienne gare du village.

L’usine « Landrain » bombardée (Momalle)

Le 10 (11 ?) mai 1940, une bombe tombe sur l’usine d’engrais « LANDRAIN », près de la gare de Momalle.

Henri Longrée, chef de gare (Waremme)

En janvier 1940, LONGREE Henri est le chef de la gare du Chemin de Fer à Waremme.

Les victimes de l’attaque du train, au cimetière (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)

Le 12 mai 1940, lorsque les dépouilles des victimes du bombardement du train de Fexhe-le-Haut-Clocher, sont identifiées dans le bâtiment réservés aux marchandises, à la gare de Waremme, elles sont transportées à la morgue du cimetière ou à proximité (car le local s’avère rapidement trop exigu).

Ces identifications sont effectuées par NAHON Joseph et HOUBREXHE Joseph, dit « Djèf ».

La gare de Waremme

Le 11 mai 1940, vers 18 heures, un télégramme de l’Inspection de Liège arrive à la gare de Waremme. L’Administration des Chemins de Fer donne l’ordre au chef de la gare de ne conserver que le personnel strictement nécessaire et de faire évacuer vers Gand les agents non indispensables.

Les blessés du train de Fexhe (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)

Le 11 mai 1940, vers 16 heures, le train qui a été bombardé en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher, plus tôt dans la journée, arrive en gare de Waremme.

Les victimes sont extraites du train et allongées provisoirement dans les locaux de la gare, réservés aux marchandises. Les nombreux blessés sont emmenés dans les cliniques et centres médicaux de la ville (des blessés sont accueillis au Centre Médico-Chirurgical que l’Armée a ouvert à l’Ecole Moyenne), mais ils sont rapidement saturés.

Le directeur du Collège Saint-Louis, l’abbé DE MARTELAERE Charles, propose de de mettre des locaux de son établissement, situé avenue Reine Astrid, à la disposition des équipes soignantes.

De nombreuses victimes à la gare (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)

Le 11 mai 1940, vers 16 heures, le train qui a été bombardé en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher, plus tôt dans la journée, arrive en gare de Waremme.

13 victimes sont extraites du train et allongées provisoirement dans les locaux de la gare, réservés aux marchandises:

  • LACROIX Louis, 63 ans, de Verviers
  • GROLET Lucie, 53 ans, son épouse
  • DEFIZE Albertus, 38 ans, de Herstal
  • DEPREAY Lucien, 33 ans, de La Reid
  • HELLINX Martin, 28 ans, de Haccourt
  • WERTZ Maria, 71 ans, de Welkenraedt
  • COOLS Joseph, 30 ans, le machiniste du train, de Chênée
  • DEWANDRE Rose, 49 ans, de Liège
  • FOSSION Julia, 67 ans, d’Angleur
  • MERNY René, 31 ans, de Seraing
  • SCHETTER Camille, 66 ans, de Liège
  • WEBER Jean, 81 ans, de Romsée
  • VERHEYDEN Rosine, 76 ans, d’angleur

Les nombreux blessés sont emmenés dans les cliniques et centres médicaux de la ville. 6 d’entre-eux vont encore décéder.

Joseph Hubrecht, transporteur (Waremme)

En 1940, HUBRECHT Joseph, dit « Djèf », transporte les colis de la SNCB, au moyen d’un véhicule hippomobile bâché. Il est le concessionnaire exclusif pour la livraison à domicile des marchandises qui arrivent par Chemin de Fer, à la gare de Waremme.

Il habite au n° 10 de la rue Visigath. Il a trois filles: HUBRECHT Ella, HUBRECHT Olga et HUBRECHT (?)

Les Etablissements Doyen (Waremme)

En 1939, les « Etablissements DOYEN », entreprise spécialisée dans la fabrication d’équipements industriels agricoles, sont installés près de la gare de Waremme (à l’emplacement de la future rue des Combattants et des immeubles qui la borderont).

Hyacinthe Couchant confronté à la Guerre (Waremme – Bierset)

Le 10 mai 1940, peu après 6 heures du matin, le Waremmien COUCHANT Hyacinthe arrive, par le train, en gare de Bierset. Celle-ci vient d’être bombardée par des Stukas de l’aviation allemande.