Les Allemands vont quitter Waremme

Le 2 septembre 1944, dans la matinée, le lieutenant de gendarmerie, JAMAR Ambroise, se rend à la Feldgendarmerie (qui s’est installée dans les locaux de la gendarmerie de Waremme), accompagné des gendarmes DE BARQUIN Marcel et DELVIGNE Louis. On lui a signalé que les « feldgendarmes » étaient sur le point de partir et qu’il faudrait éviter que des documents disparaissent après ce départ.

Les gendarmes (Waremme)

Le 28 août 1944, durant le bombardement de Waremme, le lieutenant JAMAR Ambroise ne quitte pas le porche de la gendarmerie, rue Porte de Liège. Il réalise que la ville est durement touchée et qu’il aura besoin de toute la brigade pour assurer l’ordre et protéger les biens des sinistrés. Il donne ses instructions à l’adjudant MARECHAL Jules pour rappeler les hommes qui sont déjà rentrés chez eux et pour prendre toutes les mesures indispensables pour organiser les secours.

Ambroise Jamar transporte ses propriétaires (Waremme – Grand-Axhe)

Le matin du 10 août 1944, l’officier de gendarmerie JAMAR Ambroise, de Grand-Axhe, emmène les propriétaires du logement qu’il occupe, JOASSIN Alfred et son épouse Marie, à bord de sa voiture « Juvaquatre, pour faire des emplettes à Waremme.

Marie souffre d’asthme.

La Kommandantur de Waremme

En août 1944, la Kommandantur de Waremme n’est plus occupée que par une dizaine d’Allemands. (Ils étaient une trentaine en mai 1940).

La Kommandantur de Waremme

En mai 1940, une trentaine d’Allemands occupent la Kommandatur de Waremme. Elle est installée dans la caserne de gendarmerie de la ville.

Le lieutenant Cocquyt, chef de district (Waremme)

En juillet 1940, le lieutenant COCQUYT Charles occupe un bureau à la gendarmerie de Waremme, située au n° 10 de l’avenue Reine Astrid. Il est le commandant du district de Waremme, qui regroupe les brigades de:

  • Waremme
  • Hannut
  • Ligney
  • Oreye
  • Othée
  • Verlaine

Le retour des gendarmes (Waremme)

En juin ou juillet (?) 1940, lorsque le commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, l’adjudant MARECHAL, revient dans la ville, au terme de la « Campagne des dix-huit jours », il installe le bureau de la brigade au rez-de-chaussée de l’immeuble situé au n° 10 de l’avenue Reine Astrid. En effet, les locaux de la gendarmerie ont été réquisitionnés par la Kommandantur.

La gendarmerie de Waremme

Le 10 mai 1940, lorsqu’éclate le conflit, la gendarmerie de Waremme est située place du Roi Albert 1er. C’est une imposante bâtisse. Outre les bureaux administratifs, elle accueille 5 familles de sous-officiers. Derrière le bâtiment, à l’abri d’un haut mur, se trouvent les écuries et le manège où les gendarmes peuvent s’entraîner.

Le maintien de l’ordre à Waremme

En septembre 1940, le maintien de l’ordre à Waremme est assuré, conjointement, par la feldgendarmerie et la gendarmerie belge. Cette situation est assez ambiguë.

La grève dégénère (Belgique)

Le 31 juillet 1950, alors que l’émotion est à son comble, après la mort de 3 manifestants abattus à Grâce-Berleur par la gendarmerie, les partis se mettent d’accord sur un projet de transfert des pouvoirs royaux au Prince BAUDOUIN.