Le 2 décembre 1873, le conseil communal de Waremme vote un emprunt de 100.000 francs pour rembourser les dettes et reconstruire l’école moyenne dans les locaux de l’ancienne gendarmerie.
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Waremme en 1842
En 1842, Waremme comprend:
- 1 Justice de Paix
- 1 Commissariat d’Arrondissement
- 1 bureau de l’Enregistrement
- brigade de gendarmerie
- 1 bureau de perception des Postes
- 1 école primaire
- 1 pensionnat de demoiselles
- 1 Commission pour le soutien du Service Militaire
- 1 sous-commission de la Société de Bienfaisance
- 1 contrôleur des Contributions
- 1 géomètre du Cadastre
- 2 notaires
- 6 docteurs en médecine
- 2 médecins vétérinaires
- 4 pharmaciens
- 2 arpenteurs jurés
Henri Vanderlinden, gendarme (Waremme)
Le 19 octobre 1953, VANDERLINDEN Henri est affecté à la gendarmerie de Waremme.
Henri Vanderlinden, retraité (Waremme)
Le 1er octobre 1979, le 1er Maréchal des Logis VANDERLINDEN Henri, de la gendarmerie de Waremme, prend sa retraite.
Mort de Julie Bosman (Waremme)
Le 20 août 1990, BOSMAN Julie décède à (?). Son mari veuf est THIRY Nestor, l’ancien commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme.
Alfred Puffet, chef des gendarmes (Waremme)
En octobre 1954, l’adjudant PUFFET Alfred est nommé commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme. Il remplace l’adjudant GODARD Henri.
Henri Godard, chef des gendarmes (Waremme)
En 1951, l’adjudant GODARD Henri est nommé commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme. Il remplace l’adjudant MARECHAL Jules.
Changement à la gendarmerie (Waremme)
En 1948, le lieutenant BAEYAERT Marcel, qui commande le district de gendarmerie de Waremme, est remplacé par le sous-lieutenant GERARD Georges.
Les « profiteurs » et « collabos » au pilori (Waremme)
Les 23 et 24 novembre 1918, la population de Waremme traque les « collabos » et les « profiteurs », ceux qui sont perçus comme s’étant compromis avec l’ennemi ou ayant bâti leur fortune sur le dos de la population.
Cette justice populaire se déchaîne alors que la gendarmerie ne s’est pas encore réinstallée dans la ville. Des maisons sont pillées et du mobilier détruit. Elle ne fera cependant pas de victime.
10 dossiers seront introduits au tribunal des dommages de guerre pour obtenir des indemnités, dont le dossier « DOYEN »
Une « Garde Bourgeoise » (Waremme)
Le 13 novembre 1918, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, institue une « garde bourgeoise » pour assurer la sécurité de la population. En effet, la gendarmerie n’est pas encore de retour dans la ville.
Cette garde est composée d’hommes âgés de 21 à 45 ans. En sont exemptés les médecins, les pharmaciens, les prêtres, les religieux, les malades et ceux qui en sont empêchés par leur profession.
Le bourgmestre déclare que ce service est obligatoire et que des peines sont prévues en cas d’absence injustifiée.