En 1969, VILLEE Michel entre à la gendarmerie et est affecté à la brigade mobile de Bruxelles.
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Nestor Thiry, gendarme à Waremme
Le 15 février 1960, THIRY Nestor est affecté à la gendarmerie de Waremme.
Nestor Thiry, gendarme (Bruxelles)
En 1953, THIRY Nestor entre à la gendarmerie, après un service militaire à la force aérienne. Après son instruction, il sera affecté à la brigade mobile de Bruxelles.
Jules Maréchal, gendarme (Waremme)
En 1936, MARECHAL Jules entre à la brigade de gendarmerie de Waremme.
Contretemps pour la nouvelle gendarmerie (Waremme)
En juillet 1989, le ministre DUPREZ Jos. informe la ville de Waremme que la construction de la nouvelle gendarmerie est repoussée. A l’ouverture des soumissions, la meilleure offre est de 57,4 millions de francs, alors que les services compétents du ministère des travaux publics ont estimé la dépense à 39,5 millions de francs.
Le projet de construction doit donc être revu à la baisse pour s’inscrire dans cette estimation.
Le groupe « Interpolices » de Waremme
Le 16 mai 1989, les 15 bourgmestres des communes qui font partie du groupe « Interpolices » de Waremme, se réunissent à l’hôtel de ville de Waremme, en vue d’encourager la coopération entres les différents services d’ordre (polices communales, police judiciaire et gendarmerie), afin d’améliorer la sécurité des citoyens de l’arrondissement.
Les gendarmes (Waremme)
En 1970, la caserne de gendarmerie de Waremme est située Place du Roi Albert 1er.
Des cours d’éducation routière (Waremme – Liège)
Durant les premières semaines de 1983, le groupe territorial de la province de Liège de la gendarmerie nationale dispense à Waremme des cours d’éducation routière, aux enfants de 9 à 13 ans, qui fréquentent les écoles de Waremme et des alentours.
Ces cours sont donnés au hall omnisports de la rue des Prés.
L’ancienne gendarmerie de Waremme est rénovée
En août 1875, le bâtiment qu’occupait la gendarmerie de Waremme, place de l’Ecole Moyenne, fait l’objet d’importants travaux. Le coût de ces travaux est évalué à 60.000 francs belges.
Les Allemands arrivent à Waremme
Le 6 août 1914, les Allemands arrivent à Waremme, mais les carabiniers cyclistes veillent.
Les six carabiniers d’un peloton cycliste belge, des « pioupious », parmi lesquels se trouve le soldat DELATTRE, aperçoivent dans la campagne, non loin de Hollogne-sur-Geer, un peloton d’une quarantaine de cavaliers allemands, des uhlans du 17ème Dragon de Mecklembourg, qui se dirigent vers Waremme.
Deux soldats belges dressent un guet-apens du haut du viaduc de la rue de Huy et du talus du Chemin de Fer. Ils abattent plusieurs Allemands qui passent au galop et qui s’engagent dans la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), où ils sont pris sous le feu des quatre autres carabiniers belges.
Désarçonné, le gros de la troupe allemande se réfugie dans le jardin du juge de paix DUTILLEUX Maximilien, au n° 7 actuel de la rue de Huy.
Le sergent VAN ESPEN, âgé de vingt ans à peine, est étonné de voir flotter un drapeau blanc, accroché à une lance, lorsqu’il s’approche, seul, de leur retraite. Il sort son revolver et entre en courant dans la propriété. Il se précipite sur un officier et lui braque son arme sur la tête en criant : « Si un de vos hommes bouge, je vous abats ! ». L’officier lui répond en français : « Je me rends, voici mon épée ».
VAN ESPEN ordonne à l’officier de faire desseller les chevaux, mais les soldats allemands hésitent. Un second, puis les trois derniers carabiniers belges arrivent sur ces entre faits. Les Allemands s’exécutent.
Les hommes de VAN ESPEN escortent les 38 prisonniers allemands à la gare de Waremme, où ils sont cadenassés dans un wagon et envoyés au Quartier Général à Louvain. Ils confient ensuite les armes et les chevaux à la gendarmerie de Waremme.