L’ASBL « Hébergements Protégés » (Waremme)

En mai 2005, le siège de l’ASBL « Hébergements Protégés » de Waremme est situé au n° 49 de l’avenue Guillaume Joachim à Waremme. Le but de l’association est de gérer des habitations protégées destinées à prendre en charge des patients psychiatriques ne nécessitant pas (plus) des soins en hôpital psychiatrique, mais qui sont incapables de vivre seuls

Le bureau est composé de:

  • COUTEAUX Francis, président, médecin de TilfF
  • GARCET Marc, secrétaire, administrateur chargé de la gestion quotidienne, d’Eben-Emael
  • BURY Jean, vice-président, médecin de Liège
  • PALM Suzanne, trésorière, de Fexhe-Slins
  • JANSEN Luc, commissaire aux comptes, de Soumagne

La Waremmien VANDORMAEL Luc est administrateur.

L’Orchidea de père en fils (Waremme – Bruxelles)

En novembre 2014, TODISCO Francesco cède la gestion du restaurant « L’Orchidea » situé au n° 1 de l’avenue Guillaume Joachim à Waremme, à son fils, TODISCO Andrea et son épouse VANDORMAEL Corine, dite « Coco ».

Le restaurant est ouvert depuis 25 ans.

TODISCO Andrea a suivi les cours d’une école de cuisine à Spa, avec une spécialisation en pâtisserie, chocolaterie et confiserie. travaillé pour le « Hilton » de Bruxelles et pour un palace de Rome. Il est devenu chef de cuisine dans des restaurants à Vaux-sous-Chèvremont et à Barchon. Il a remporté plusieurs concours de cuisine.. Il a secondé son père à « L’Orchidea », avant de reprendre l’établissement.

Les « Heures Paisibles » de Waremme

En janvier 1986, la maison de retraite de Waremme, « Les Heures Paisibles », accueille 40 pensionnaires. Elle est gérée par le CPAS de la ville.

Axel Smal, gérant (Waremme)

En 1988, la gestion de l’étang communal de Waremme est confiée à SMAL Axel.

Les élus de Waremme jugés responsables de l’incendie

En février 1693, les autorités de Waremme ont été reconnues responsables de l’incendie de la ville en 1691 par les soldats français.

En conséquence, dans un premier temps, quatre notables vont être adjoints au magistrat de la ville avec voix délibératives.

Dans un deuxième temps, une réforme du règlement électoral est réclamée: « … Les jurés et conseillés n’étant qu’annales, le sort tombe souvent sur des personnes idiotes et mécaniques qui, ignorant leur devoir et sans faire réflexion à leur serment, élisent pour bourgmestres aucuns des incapables … »

La mauvaise gestion financière de la ville est également pointée du doigt.

Le magasin « Bien-être du Pays Wallon » (Waremme)

En mai 1958, MOREAU Jacqueline, épouse KINET, reprend le magasin de la coopérative catholique « Bien-être du Pays Wallon », situé rue Joseph Wauters à Waremme. Elle exercera cette activité jusqu’en 1976.

Cette coopérative s’occupe essentiellement de la gestion de ce magasin de détail (alimentation et textile).

(Le premier étage hébergera plus tard les bureaux du syndicat et de la Mutuelle Chrétienne).

Le Centre Sportif de Waremme reprend la gestion du Club de Foot

En 2012, le centre sportif de Waremme reprend la gestion du nouveau stade de football du « Royal Stade Waremmien ».

Un ordinateur pour le « Hôme Waremmien » (Waremme)

Le 13 août 1991, la CGER fait don d’un ordinateur au « Hôme Waremmien » pour faciliter la gestion comptable, administrative et statistique de l’institution. La cérémonie de remise se déroule en présence des responsables du Home Waremmien :

  • LEBURTON Edmond (président)
  • BOTTE André (directeur)
  • MOTTARD Denis (directeur-adjoint)

Changement de gérant au Delhaize (Waremme)

En 1948, la firme « Delhaize » confie la gestion de sa succursale de Waremme, installée au coin de la rue Joseph Wauters et de la rue Charles Lejeune, à KEPENNE Fina, l’épouse de JEANDARME Emile. Elle succède à SIMONIS Zoé.

Joseph Schlusmans quitte la Belgique (Waremme)

Le 11 mai 1940, lors d’une réunion extraordinaire, le conseil d’administration de la Mutuelle Socialiste « La Justice » donne mandat à son président, SCHLUSMANS Joseph, de quitter la Belgique avec les fonds de la société et la comptabilité de la clinique Joseph Wauters, dont il est également président, et de les mettre à l’abri en France. Avant de partir, il confie la gestion de la clinique à SERET Jeanne, dite « Madame Jeanne ».

Il sera accusé d’avoir abandonné son poste de 1er échevin (en contravention avec la loi du 5 mars 1935, dite « Loi Bovesse » qui interdit aux mandataires publics de quitter leur poste, en cas de conflit) et ne le retrouvera pas son retour au courant de l’été.

Il fuit Waremme à bord d’un camion de l’Union Waremmienne, avec sa famille, mais aussi avec:

  • les époux BAILLY
  • RAMQUET Jules
  • MASSOELS Alphonse
  • MASSOELS José
  • WERY Eva
  • POELMANS Joséphine
  • RENIER Fernand
  • BRONCKART Constant
  • WILMOTTE Maurice