Le 21 janvier 1994, le ministre COEME Guy démissionne de ses fonctions dans le gouvernement « Dehaene ». Il est cité dans l' »Affaire Agusta », enquête sur une collusion politico-financière dans l’achat d’hélicoptères pour la Défense Nationale, permettant de financer son parti.
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Guy Coëme, secrétaire d’Etat (Waremme – Wallonie)
En février 1981, SPITAELS Guy propose au Roi la désignation du Waremmien socialiste COEME Guy, bien qu’extra-parlementaire, comme secrétaire d’Etat à la Région wallonne au sein du gouvernement national. Il succède à DEWORME Elie.
Démission d’Edmond Leburton (Waremme – Belgique)
Le 22 février 1971, le Waremmien, LEBURTON Edmond, démissionne du gouvernement dirigé par EYSKENS Gaston.
Le Roi consulte (Belgique)
Le 11 novembre 1918, le Roi ALBERT 1er entame des discussions avec différentes personnalités, réunies au château de Lophem, sur l’opportunité de conserver un gouvernement d’unité nationale, ainsi que sur l’adoption du suffrage universel.
Refus de l’ultimatum allemand (Belgique – Allemagne)
Le 3 août 1914, avec l’accord du gouvernement belge, des ministres d’Etat et des responsables militaires, le Roi ALBERT 1er répond négativement à l’ultimatum allemand, exigeant le libre passage des troupes allemandes sur le territoire belge.
La liste des villes (Waremme – Pays-Bas – Belgique)
Le 25 mai 1825, le gouvernement hollandais publie la liste des 87 villes du Royaume. Waremme n’y figure pas !
Les études s’organisent sur six ans (Waremme)
En 1911, l’abbé MOFFARTS, directeur du Collège Saint-Louis de Waremme, organise officiellement son établissement en six années d’études, selon les désirs du gouvernement.
Le Collège Saint-Louis s’agrandit (Waremme)
En 1897, le gouvernement belge fixe l’âge d’admission en première moyenne à 12 ans.
Le nombre de classes du Collège Saint-Louis de Waremme passe de 4 à 6.
Leburton s’exprime sur le « rapport Blumenthal » (Waremme – Belgique – Congo)
Le 24 novembre 1982, LEBURTON Edmond s’exprime sur le « rapport Blumenthal ».
A la question: « Quelle est votre attitude face aux allégations reprises dans le rapport Blumenthal ?
Je n’ai pas varié depuis le début, à savoir que j’oppose un démenti formel aux allégations contenues dans ce rapport. Je mets en cause sa probité intellectuelle.
Aux questions: « Quelles étaient vos relations avec le président MOBUTU alors que vous étiez Premier ministre ? Que sont devenues ces relations ?
C’est très simple, les mêmes que tout chef de gouvernement. Il n’y a pas une exception depuis lors et, auparavant, c’est en raison de ce qu’était le statut du Zaïre et du Congo belge. Tous ceux qui ont eu des responsabilités dans la vie de l’Etat ont eu des rapports avec le gouvernement de ce qui est devenu la République du Zaïre. Mon problème comme Premier ministre était très simple, c’était d’entretenir des relations normales avec ce pays qui était naguère colonisé et qui est devenu indépendant. Dans le respect de l’indépendance, j’ai eu, bien entendu, des relations avec les responsables du gouvernement.
Pour citer un exemple dont on ne parle pas: lorsque j’étais Premier ministre en 1973, j’ai négocié une commande particulièrement importante pour le barrage d’Inga. Des millions d’heures de travail pour les ACEC de Charleroi étaient en jeu. J’ai essayé d’obtenir et obtenu du président MOBUTU, que le marché soit confié aux ACEC, plutôt qu’à une entreprise étrangère. Avec le Premier ministre de l’époque, CARL I BOND N’Gusa, j’ai été reçu par une délégation des ACEC, pour me remercier de ce que j’avais fait. En dehors de cela, je conteste avoir reçu quoi que ce soit, parce que c’est indigne de ma personnalité. Je suis heureux d’avoir pu contribuer à la réalisation d’une opération importante pour les ACEC et pour l’économie wallonne.
A la question: « Vous êtes intervenu auprès du président MOBUTU pour obtenir la grâce de Monsieur CARL I BOND N’Gusa alors que celui-ci était condamné à mort. A quel titre êtes-vous intervenu ? Quelles étaient vos relations avec Monsieur CARL I BOND ?
C’est vrai, je suis intervenu, non pas une fois mais deux, en faveur de CARL I BOND N’Gusa, qui a été Premier ministre, afin qu’il ne soit pas exécuté. Le président MOBUTU disait qu’il avait été victime de la trahison de son Premier ministre. Je connais bien CARL I BOND N’Gusa. J’ai estimé qu’exécuter un Premier ministre était un acte grave. J’ai plaidé son cas, avec d’autres, et nous avons obtenu la clémence du président MOBUTU. CARL I BOND N’Gusa a été gracié et est redevenu Premier ministre de MOBUTU.
Je n’ai jamais rien demandé, pas même un centime ! Je n’ai jamais spéculé pour quoi que ce soit dans les affaires de Waremme ou d’ailleurs. Je m’insurge contre de telles affirmations.
Mais ce qui est plus grave, j’accuse MARTENS Wilfried d’avoir comploté contre un certain nombre de personnalités parce que lui-même a été de mèche avec CARL I BOND N’Gusa, pour des raisons qu’il ne m’intéresse pas de connaître. Mais il y a deux ou trois ans de cela, lorsque CARL I BOND N’Gusa était encore « persona grata », il a reçu MARTENS Wilfried à Kinshasa, en néerlandais, ce qui était assez exceptionnel de la part d’un zaïrois. De là sont nées des relations particulières. CARL I BOND a tenu à MARTENS des propos d’une telle bonne volonté que ce dernier s’est laissé séduire et a déclaré, un peu plus tard, « J’aime ce pays, j’aime ce peuple, j’aime ses dirigeants ».
Lorsque CARL I BOND a rompu avec le régime MOBUTU, il est venu en Belgique et a rencontré MARTENS. Ensemble, ils ont manigancé contre MOBUTU et ont demandé à BLUMENTHAL de faire un rapport dont une annexe comportait des accusations non fondées, irresponsables, ignobles, contre un certain nombre de personnalités, dont moi-même, en vue de discréditer MOBUTU. Il y a une évidente complicité entre MARTENS et CARL I BOND. D’autre part, j’accuse MARTENS Wilfried d’avoir utilisé scandaleusement ce rapport pour réaliser une bonne opération électorale.
Il y a actuellement plusieurs actions judiciaires en cours.
L’Affaire Meyer risque de compromettre la dynastie (Belgique)
En août 1850, les plus proches collaborateurs de LEOPOLD 1er tentent de le convaincre d’apparaître plus souvent en public avec son épouse, la Reine LOUISE-MARIE. Le gouvernement craint même que « L’Affaire Meyer », du nom du mari de la maîtresse du Roi, CLARET Arcadie, n’entraîne la chute de la dynastie. Le Roi se laisse convaincre à grand peine.