En (?), le Gouvernement Belge octroie exceptionnellement le droit de vote à ROBINET Zélina, de Remicourt, (alors que les femmes n’en disposent pas encore !), pour s’être conduite « en homme ! » durant la Première Guerre Mondiale.
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Joseph Wauters, contact avec le gouvernement (Waremme – Belgique – France)
Dès la fin 1914, le Parti Ouvrier Belge (P.O.B.) charge le Waremmien WAUTERS Joseph d’établir le contact avec le gouvernement, établi au Havre.
Subside pour la Fête des Moissons (Waremme – Belgique)
En 1958, la ville de Waremme reçoit un subside de 400.000 francs (?) du gouvernement pour organiser un évènement dans le cadre de l’Exposition Universelle. Elle mettra sur pied la « Fête des Moissons ».
L’Opération Gutt (Belgique)
Entre le 9 et le 13 octobre 1944, un mois après la Libération, sur proposition du ministre GUTT, le gouvernement belge fait procéder à un retrait des billets de 100, 500 et 1.000 francs, pour réduire l’inflation. Il y a, en effet, un flot considérable de billets en circulation.
Chaque détenteur de billets ne peut recevoir en échange que 2.000 francs en nouveaux billets de couleur rouge (fabriqués en Angleterre). Le reste est bloqué et ne sera libéré qu’au fur et à mesure de l’amélioration de la situation. Cette opération permet de mettre à jour les bénéfices de guerre, mais fait aussi des victimes parmi les petits épargnants.
Nouvelle route de Huy à Waremme
Le 11 juillet 1845, le Gouvernement belge charge l’ingénieur en chef de l’Administration des Routes, de l’étude d’un nouveau tracé, partant de la Porte des Aveugles à Huy, vers Waremme.
Fin de la Compagnie Belge de Colonisation (Belgique – Guatemala)
Vers 1851, l’expérience de la Compagnie Belge de Colonisation au Guatemala tourne court, suite à l’indifférence du gouvernement belge, qui abandonne les colons à leur sort.
Von Horst à la tête de la Belgique
Le 23 mars 1814, un commissaire prussien, le Baron VON HORST, est nommé à la tête du gouvernement belge, par l’administration centrale des puissances alliées.
Traité belgo-italien sur le charbon
Le 23 juin 1946, les gouvernements belge et italien signent le « Traité belgo-italien sur le charbon » (minatori/carbone), à Rome.
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’Europe se relève péniblement des conséquences du conflit. Il faut faire face aux nombreux défis liés à l’économie. En Belgique, la main d’oeuvre manque. C’est pour répondre à ce besoin que ce traité est conclu.
Afin de gagner la « bataille du charbon », l’accord prévoit l’envoi de 50.000 travailleurs italiens dans les mines belges, contre la fourniture à l’Italie de plusieurs millions de tonnes de charbon annuelles.
La très grande majorité de ces travailleurs provient des régions déshéritées de la péninsule (Abruzzes, Pouilles, Sicile, Vénétie, …). Les conditions d’accueil (comme le logement) sont rudes pour ces immigrants. Les conditions de travail sont pénibles et conduiront à des drames.
La Belgique sur « Pied de Paix Renforcée »
Le 30 septembre 1938, le gouvernement belge décrète la phase B du plan de mobilisation, qui met l’armée sur « Pied de Paix Renforcée ».
« L’Armée de Belgique » devient « L’Armée Secrète » (Belgique)
Le 1er juin 1944, l’organisation de Résistants, « L’Armée de Belgique », prend le nom de « Armée Secrète », suivant les instructions émanant du Ministère Belge de la Défense, en exil à Londres.