En 1896, MOUSSET V. est marchand de grains et de farines à Viemme.
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Le marchand Robert (Viemme)
En 1896, ROBERT H. est marchand de grains et de farines à Viemme.
L’Hôtel de Hesbaye (Waremme)
Vers 1924 (?), l’Hôtel de Hesbaye est installé Place de la Station (qui deviendra plus tard la Place Ernest Rongvaux) à Waremme, à l’emplacement des anciens bâtiments du marchand de grains WERY,
En 1682, quelques prix (Waremme – Liège)
En 1682, quelques prix dans la région de Waremme – Hodeige:
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- 1 journée de charriage de Liège à Hodeige: 6 florins
- le charriage de 2 sacs de grains de Hodeige à Liège: 2 florins
La société « Zulac » (Celles)
En 1965, la Société Coopérative Agricole « Zulac » vend:
- des aliments pour bétail,
- des engrais,
- des farines,
- des grains,
- des semences
- …
Elle a un siège à Celles.
La dîme de Hodeige
En 1790, la dîme de Hodeige est levée sur:
- 168 bonniers et 2 petites verges et demi de durs grains;
- 159 bonniers 14 verges grandes et 10 petites d’avoine;
- 35 bonniers 16 verges grandes et 10 petites de fourrage.
Elle est vendue avec les droits pour 287 muids 1 setier (on a livré comme de coutume 8 muids 4 setiers à la marguillerie de Lamine, 200 gerbes de paille à la cure de Lamine évaluées à 19 florins 10 sols, 308 florins pour le vin de stuit, 250 florins pour « captiver » les repreneurs).
Le tout, sauf les frais, porte 4.053 florins 7 sous. (Les frais s’élèvent à 179 florins 9 sous. Ceux qui ont colligé (?) la dîme reçoivent 100 florins). Il faut donc 4.226 florins 6 sous 1 liard en argent pour payer la dîme de Hodeige.
Il n’y a pas de moulin à Hodeige
Vers 1368, il n’y a pas de moulin banal à Hodeige. Les habitants doivent faire moudre leurs grains ailleurs.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.
Un cinéma à la Maison du Peuple (Waremme)
En 1929, les gestionnaires de la Maison du Peuple de Waremme et ceux de l’Union Coopérative (dont fait partie la Coopérative « La Justice » de Waremme), décident la création d’un cinéma, voyant en celui-ci un moyen d’ouverture sur le monde.
L’architecte choisi est MOUNTSCHEN Joseph, par ailleurs échevin des travaux à Jupille.
L’espace dévolu au futur cinéma est limité, d’une part, par le magasin de la Coopérative et la Maison du Peuple, situés rue de la Station, et d’autre part, par la « Bergerie » située à l’arrière de ces bâtiments et ouvrant sur la rue Neuve (qui deviendra plus tard la rue Emile Hallet).
La « Bergerie » se situera derrière la scène du théâtre-cinéma et comprendra les loges des artistes. Elle a été tour à tour magasin aux grains et farines, local de différents groupements, salle de répétition et d’exercices pour la gymnastiques.
Des soldats campent et pillent (Haneffe – Crisnée)
Le 2 septembre 1706, des soldats, qui campent à Haneffe, pillent les récoltes de grains de Crisnée.