La farine de Georges Boxus (Waremme)

En 1906, le marchand de grains, BOXUS Georges, vend de la farine à Waremme.

Le moulin banal de Remicourt

En 1756, il est défendu aux paysans de Remicourt de faire moudre leurs grains ailleurs qu’au moulin banal du Seigneur du village, sous peine de 10 florins d’or.

Les batteuses remplacent les fléaux (Hesbaye)

Vers 1860, des batteuses actionnées par des chevaux remplacent progressivement les hommes munis de fléaux, pour battre le grain.

La S.A. Industrie Agricole (Waremme)

En 1954, la S.A. « Industrie Agricole » est installée au n° 28 de la rue des Fabriques, à Waremme. Elle dispose également d’un siège à Tirlemont.

Elle fait le commerce de:

  • grains et semences
  • plants de pommes de terre
  • triage, séchage et mouture de céréales
  • fourrages mélasses
  • aliments pour bétail et volaille

Les Etablissements Guillaume Materne (Waremme)

En 1954, les « Etablissements MATERNE Guillaume – Grains » sont installés à Waremme. 

Ils vendent notamment:

  • des graines de trèfles violets, blancs, hybrides, minettes
  • de la luzerne de Provence et Flandria
  • des graminées pour prairies, séparées et en mélange
  • des graines de betteraves sucrières « Dr Mausberg originales »
  • des graines de betteraves demi-sucrières et fourragères
  • des vesces et maïs à semer
  • des céréales sélectionnées

Eugène Gielen, marchand de grains (Waremme)

En 1925, GIELEN Eugène est marchand de grains et de graines à Waremme. Il est spécialisé dans les graines de trèfles campinoises.

La production agricole à Hemricourt

En 1680, un rapport de la Cour de Justice de Hemricourt constate que:

  • Un bonnier de durs grains produit 200 gerbes (4 gerbes forment 1 setier. Un bonnier peut donc produire 1.500 litres de durs grains, ce qui représente un poids moyen de 1.125 kilos).
  • Un bonnier d’avoine produit 120 gerbes (2 gerbes forment 1 setier ?. Un bonnier peut donc produire 1.800 litres d’avoine, ce qui représente un poids moyen de 1.350 kilos).

Un setier de froment vaut 8 florins brabant; un setier d’avoine vaut 35 patars.

A Remicourt, un bonnier de terre se vend 800 florins.

Les habitants de Bleret doivent moudre à Lantremange

Le 1er août 1278, dans une charte de la Collégiale Saint-Denis à Liège, DE HEMRICOURT Guillaume, dit « Malclerc », prétend obliger les manants de Bleret à faire moudre leurs grains à son moulin de Lantremange. (Précédemment, les gens de Bleret avaient, sans doute, la faculté de choix, surtout celle de se rendre à Waremme, qui possède plusieurs moulins).

Théophile Wéry, négociant (Waremme)

En 1901 et 1904, WERY Théophile est négociant en graines et propriétaire à Waremme.