En octobre 1928, la S.C. « Union Agricole de Waremme » vend des grains, graines, ficelles, huiles, graisses, farines.
Elle est spécialisée en semences sélectionnées.
En octobre 1928, la S.C. « Union Agricole de Waremme » vend des grains, graines, ficelles, huiles, graisses, farines.
Elle est spécialisée en semences sélectionnées.
En janvier 1939, la S.A. « Compagnie Agricole de la Hesbaye » de Waremme (Hesbaco – Waremme) vend des grains et des graines.
Son numéro de Registre de Commerce est: Liège 19370.
En 1922, WERY Théophile (fils ?) exploite un magasin de grains et de graines à Waremme.
En 1895, le prix de 100 kilos de froment est de 13,98 francs. Les prix se sont effondrés, car pour la même quantité de froment, il fallait dépenser 31,35 francs en 1860.
En juillet 1794, le quartier général en chef de l’armée française vient s’établir à Waremme et y séjourne 5 à 6 semaines. Un parc d’artillerie, composé de 7.000 chevaux, est installé auprès du Bois des Deux Tombes de Grand-Axhe et de Celles et y cause de grands dommages. Les autorités françaises réquisitionnent fourrage et grains.
En ce début de 18ème siècle, Waremme est une ville refuge. En période de troubles, les habitants des villages voisins viennent chercher asile derrière les fortifications de la ville et amènent avec eux leurs grains et leur bétail pour les mettre à l’abri des ennemis.
Le 30 juillet 1693, après la bataille de Neerwinden, l’armée française prend la direction de Waremme, à cause du danger d’infections né de la décomposition des corps et du manque de vivres.
Les soldats demeurent à Corswarem jusqu’au 13 août, pillant fourrages et grains à plus de deux lieues à la ronde. Les maisons et même les églises sont pillées. La plupart des habitants fuient en emportant leurs biens les plus précieux.
Le camp des Français est installé au point culminant situé entre Corswarem et Berloz.
En 1630, l’Europe occidentale est plongée dans la Guerre de Trente Ans. Nos régions sont bouleversées par le passage des troupes. Nombreux sont les hommes de la région de Waremme qui, faute de mieux, s’enrôlent dans ces armées.
A cette époque, on utilise des mousquets, des arquebuses, des estramaçons (épées à deux mains). On porte des hauts-de-chausses et des pourpoints. On mesure les grains en setiers. Les pièces utilisées sont les patacons, les sous.
En ce printemps 1592, les Espagnols font de fréquentes incursions dans les fermes de la région de Waremme, pour y voler grains et bétail.