Le 26 août 2025, la police découvre et démantele une plantation de cannabis dans la cave et le grenier d’une habitation de Bergilers (Oreye). 3 personnes sont arrêtées et déférées au Parquet.
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La boucherie Vanval endommagée (Berloz)
En novembre 1944, la boucherie de VANVAL Elie, installée au n° 21 B de la rue Joseph Wauters à Berloz, est endommagée par l’explosion d’une bombe volante allemande.
L’état des lieux sera dressé par l’architecte ONKELINX Joseph: Le mur creux de la rotonde de l’étage et le grenier de la maison sont fissurés à plusieurs endroits. Par la suite d’infiltration d’eau de pluie et de l’effet des gelées, la partie extérieure des briques de parement s’est séparée de la construction et s’est effondrée. Les plafonds de la salle à manger et de la chambre à coucher de l’étage se sont abattus par suite de l’explosion. Les fenêtres ont éclaté.
Le coût des travaux, nécessaires à la restauration de la maison, s’élèvera à 6.694 francs.
La SPRL Strauven Michel (Waremme)
En décembre 2013, l’entreprise de toiture, la SPRL « STRAUVEN Michel » est installée au n° 1 B de la rue des Mayeurs à Waremme.
- charpente
- couverture
- zinguerie
- recouvrement de pignon (ardoises, Eternit, bois, zinc, …)
- toitures plates
- corniches
- isolation
- structures de faux-plafonds, greniers
- …
Le patron a 20 ans d’expérience.
Les écuries du château (Longchamps)
Le 4 juin 1879, LISMONDE perce la porte dans le mur du grenier, au-dessus des écuries du château de Longchamps.
Travaux au château (Longchamps)
Le 3 juillet 1879, des travaux sont en cours au château de Longchamps:
par les ouvriers de DELVAUX, dont le chef d’équipe est GUILLAUME
- cheminée de la salle de bain
- réservoirs d’eau au grenier
- bouches d’eau aux 1er et 2ème étage
- commodités des domestiques
- entresol à neuf
par le maçon LISMONDE:
- commodités
- cloison de la salle de bain
- plafonnage
- loge aux bateaux
- nouvelles fenêtres aux écuries
par GABRIEL et THOMAS:
- 8 nouvelles chambres au-dessus de l’écurie
Travaux au château (Longchamps)
Le 1er septembre 1879, des travaux sont en cours au château de Longchamps:
- peinture du pont en fer du temple
- placement de fenêtres à l’écurie
- placement de réservoirs d’eau au grenier
- …
Un lanterneau au château (Waremme – Longchamps)
En avril 1891, un lanterneau est placé dans le nouveau grenier du 3ème étage du château de Longchamps.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.
La ferme en carré d’Oreye
En 1981, un agréable site de prairies, parcourues par le Geer et plantées de peupliers, abrite la ferme en carré, en bordure de la rue des Combattants à Oreye. Elle a la forme d’un quadrilatère en brique et pierre calcaire, couvert de tuiles.
Au Nord, un pont enjambe un fossé comblé, reste de douves qui entouraient la ferme, et conduit à un haut bâtiment de deux niveaux, qui cumule les fonctions de logis et de porche d’entrée. Une porte à deux vantaux, couronnée par un arc surbaissé et un linteau droit sur piédroits chaînés, s’ouvre sur un passage charretier qui mène à la cour. Cette porte était protégée par un pont-levis; de larges encoches, permettant le passage des chaînes ou des cordes, sont encore visibles aux angles supérieurs de la feuillure. Trois fenêtres, sans doute agrandies au 18ème siècle, à linteaux en tas de charge et montants harpés, éclairent la partie habitable du porche, accessible par une porte chaînée depuis le passage charretier. Deux jours carrés, surmontés d’arcquettes de décharge, à gauche de la porte, indiquent l’aspect initial des percements. Des ouvertures du même type persistent sur l’un des pignons. Côté cour, un décrochement marque le côté gauche du bâtiment, qui présente également des fenêtres aux linteaux en tas de charge.
Un bâtiment, d’un niveau inférieur, et servant actuellement de logis, jouxte l’entrée. Défiguré par des percements récents effectués de façon irrégulière, il présente les traces de petites fenêtres rectangulaires sous arcquettes de décharge et d’une porte. De nombreux aménagements intérieurs ont, heureusement, été épargnés:
- une belle cheminée de pierre, dont les montants portent l’inscription « ANNO 1619″;
- dans l’une des vastes caves jaillit une source d’eau potable;
- une lucarne en bâtière, qui possède encore son système de poulie, permet d’accéder au grenier.
La grange en double large occupe le côté Ouest du quadrilatère. Son imbrication maladroite dans les autres bâtiments et les traces de fenêtres, dans le pignon du logis contre lequel elle s’appuie, indiquent une construction plus récente.
Dans l’aile Sud, les étables sont couvertes de plafonds plats en bois et de fenils.
A l’Est, il ne subsiste qu’un chartil, couvert d’une bâtière à coyau et croupette, prolongé, côté cour, par un appentis sur piliers de ciment.
Au centre de la cour, le fumier est devenu pelouse.
La ferme en carré de Celles
En 1663, la ferme en carré située à Celles (à l’endroit qui portera bien plus tard le nom de Place Joseph Wauters) appartient à DE NEUFCOURT Anne-Marie. Elle proviendrait de DE SELLE Catherine. La propriétaire y fait procéder à d’importantes restaurations rendues nécessaires par les dégâts causés par les Lorrains.
Les bâtiments se composent d’un logis en briques et pierres de Namur, qui comprend une salle pavée, une cuisine, une petite chambre derrière la cuisine, le tout blanchi et éclairé par des fenêtres à croisée, munies de vitres et de barreaux. Deux escaliers mènent à la cave et au grenier.
Viennent s’y ajouter:
- la demeure du censier près de l’entrée
- la « lavanderie »
- la « brassine avec fourt »
- deux étables
- un colombier
- une petite grange
- une grange avec une porte « joindante » à l’étable à vaches
- une étable à brebis