En janvier 2009, la râperie de Hollogne-sur-Geer doit fermer ses portes.
Elle a été fondée en 1865 et est devenue trop vétuste. Elle est jugée trop « énergivore » par la Raffinerie Tirlemontoise qui l’exploite. Elle employait une quinzaine d’ouvriers permanents, qui seront recasés sur d’autres sites du groupe. Elle employait également une quarantaine de saisonniers. Les agriculteurs de la région devront parcourir plus de kilomètres pour décharger leur stock de betteraves.
En 1940, le commandant HOUCHON constitue un groupe de Résistants, dans la région de Fumal. Il en confie le commandement au lieutenant SIMON, secondé par le sergent BADA.
En 1564, le choeur de l’église de Momalle est restauré. Une frise Renaissance orne les murs Sud et Nord. Elle se compose de rosettes et de rondelles groupées de façon irrégulière dans des panneaux horizontaux. Chaque groupe est séparé par des rainures verticales.
Le 6 mars 1960, le groupe folklorique « Les Waromias » organise une cérémonie de baptème pour son « Géant Houbert », à l’occasion du cortège de Carnaval de Waremme.
En juin 1944, Monsieur PETRY et son épouse RADOUX Marie habitent au n° 41 de la rue Joseph Wauters, à Lamine. C’est un couple discret, mais il abrite dans sa maison certaines réunions du Groupe de Résistants « Zoro ».
En juin 1944, STASSE Valère, dit « Raoul », dirige ( ?) un groupe de Résistants, en Hesbaye.
Le 22 février 1944, un groupe armé s’empare de 6500 kilos de sucre, à la sucrerie de Remicourt.
En 1944, MATHOT François, dit « Valentin », de Berloz, est largué dans l’Entre-Sambre-et-Meuse, pour instruire le groupe de Résistance « HOTTON ». Il fait partie du « Special Air Service » (SAS).
Durant l’été 1944, le Hesbignon PAULY Albert fait partie du groupe de 165 hommes, spécialement entraînés par le Special Air Service (SAS), pour lancer des opérations derrière les lignes ennemies.
En novembre 1943, l’aumônier du groupe de Résistants « MARSOUIN » est l’abbé PIRE Dominique. Plus tard, on lui décernera le Prix Nobel de la Paix.