Guillaume Hennin, conscrit (Waremme)

En l’An VII, HENNIN Guillaume-Joseph, journalier à Waremme, est conscrit.

Naissance de Guillaume Hennin (Waremme)

Le 30 mai 1778, HENNIN Guillaume-Joseph voit le jour à Waremme. Ses parents sont HENNIN François et REKOM Catherine. Il sera journalier.

Lambert Davin, ouvrier (Waremme)

En 1763, DAVIN Lambert est ouvrier chez le menuisier de Waremme, HENNIN Guillaume-Joseph. Il est âgé de 20 ans.

Guillaume-Joseph Hennin, menuisier (Waremme)

En 1763, HENNIN Guillaume-Joseph est menuisier à Waremme. Son épouse est DEVILLERS Marie-Joseph, couturière.

Ils habitent avec:

  • DEVILLERS Elisabeth, fille (célibataire), soeur de Marie-Joseph, couturière également, âgée de 62 ans
  • DAVIN Lambert, ouvrier de Guillaume-Joseph, âgé de 20 ans

Guillaume Hennin, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 4 juin 1759, HENNIN Guillaume-Joseph est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.

Amende à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 26 janvier 1759, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne HENNIN Guillaume-Joseph à une amende d’une demi-livre de chandelles pour avoir fumé dans l’assemblée pour la deuxième fois, ce qui est contre la bienséance et à été défendu de tous temps.

Admissions dans la Confrérie des Archers (Waremme)

A la Pentecôte 1747, FRAIPONT François, HENNIN François, FRAIPONT Pierre, STAS Dieudonné-Joseph (de Mouhin) et HENNIN Guillaume-Joseph sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.

Amendes à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 23 juin 1747, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne FRAIPONT François et HENNIN Guillaume-Joseph à une amende d’une livre de chandelles chacun, pour avoir arrêté le Valet de Chambre qui portait à boire aux confrères au « prestia » (pré à tirer), lui avoir pris des mains la « mute » pleine de bière et être allés la boire dans la maison de STIERNET Laurent. Elle condamne le Valet de Chambre à une amende d’une demi-livre de chandelles, pour les avoir suivi et bu avec eux, au lieu de venir tout droit à la prairie en faire rapport au « Roy » et à « l’Empereur ».