En août 1980, COEME GUY, secrétaire d’état à l’économie régionale wallonne qui a l’eau dans ses attributions, donne le feu vert à la réfection et à la modernisation de la station d’épuration de Waremme.
En mars 1984, le Vlaamse Block dépose une proposition visant à rattacher Corswarem et Otrange à la province du Limbourg.
Devant l’inquiétude des habitants, plusieurs parlementaires francophones, dont le député COEME Guy, déposent une motion devant le Comité de Concertation, déclarant que cette proposition de loi lèse gravement les intérêts de la Wallonie.
Le 20 février 1984, le député COEME Guy organise une soirée d’information sur le thème: « Commandes publiques, marchés publics, les entreprises de notre région en profitent-elles assez ? ».
Cette soirée se tient dans les locaux de l’IPES, au n° 123 de la rue de Huy à Waremme.
Le 3 février 1984, le député COEME Guy visite les installations de « Bell Telephone » à Villers-le-Bouillet, dans le cadre de ses démarches en vue de préserver l’emploi dans la région de Waremme.
En janvier 1984, le Centre Régional d’Information (CRI) est créé dans le canton de Waremme, à l’initiative de COEME Guy.
Le projet vise à favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes.
Temporairement, le personnel sera logé dans les locaux de l’administration communale de Waremme, car la maison de l’avenue Guillaume Joachim qui devrait abriter définitivement le CRI est en cours de rénovation.
En décembre 1983, le député de Huy-Waremme, COEME Guy, interpelle le Ministre de l’Intérieur, NOTHOMB Charles-Ferdinand, sur la recrudescence de la criminalité en Belgique. Il y a eu trois fois plus de hold-up en 5 ans et trois fois plus d’attaques de bureaux de poste en 2 ans.
En décembre 1983, le collège échevinal de Waremme se compose de:
Le 18 février 1993, LEJEUNE Antoine, conseiller communal socialiste de Waremme, écrit à COEME Guy, vice-premier ministre, pour lui suggérer de déposer un projet de loi visant à l’attribution d’une pension aux conseillers communaux ayant siégé six ans au moins. De cette manière, on réduirait, à posteriori, le fossé qui sépare les jetons de présence des simples conseillers, du traitement des échevins. Il propose une pension de 1.000 francs belges par mois et par année de fonction.
En octobre 1995, après COEME Guy, c’est HERMANUS Merry qui est renvoyé devant la Cour de Cassation, dans le contexte de l’Affaire « Inusop ».
En octobre 1988, suite aux élections communales, le conseil échevinal de Waremme est composé comme suit: