Le 27 avril 1917, le conseil communal de Lamine décide de réquisitionner des maisons vides du village, pour héberger les réfugiés qui affluent.
Archives par mot-clé : hébergement
Richard Orban héberge des maquisards (Berloz)
En 1942 (?), ORBAN Richard, dit « Omer », héberge 5 maquisards sous son toit, à Berloz. Il est le régisseur de la Comtesse de Renesse.
Le pensionnat de Borlez
Vers 1805, il y a un pensionnat à Borlez. Il héberge 12 pensionnaires. Il est tenu par le curé du village.
Marcelle Levi à Hodeige
De 1943 à 1944, LEVI Marcelle, petite fille de confession juive, est hébergée dans la famille DESSART-HALLEUX, à Hodeige.
Une petite Juive au café Piron (Momalle)
En 1943 (?), une petite Juive prénommée Sarah est hébergée au café de PIRON Fernand, à Momalle.
Madame Cartenstat accueille des clandestins (Momalle)
En 1943 (?), Madame CARTENSTAT habite rue du Cornet, à Momalle. Elle héberge des clandestins dans sa maison.
L’abbé Mulimbi, relogé (Oreye – Crisnée)
En février 2014, l’abbé MULIMBI Jérôme, curé d’Oreye – Crisnée, doit être hébergé dans un logement de transit de la commune d’Oreye, pendant les travaux de rénovation du presbytère.
Les Résistants logés à Waremme
En septembre 1944, près la Libération de la Hesbaye par les Américains, les Résistants viennent s’installer à Waremme:
- Ceux du Groupe Otarie quittent Les-Waleffes pour venir à Waremme. La plupart d’entre-eux sont hébergés dans les locaux de l’Ecole Moyenne de l’Etat, rue Charles Lejeune.
- Ceux du Front de l’Indépendance, moins nombreux, sont regroupés dans l’immeuble des Oeuvres Sociales, au n° 19 de la rue Joseph Wauters.
La maison de Gilbert Botty (Waremme – Allemagne)
Le 12 mai 1940, la maison de BOTTY Gilbert, située rue de Huy à Waremme, est réquisitionnée pour héberger des soldats allemands. Ils y resteront deux ou trois jours. Par la suite, d’autres soldats y seront encore hébergés.
Il faut loger les Allemands (Waremme – Allemagne)
Le 12 mais 1940, les Allemands intiment l’ordre au bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, de désigner des habitations dans lesquelles seront hébergées leurs troupes.
Il pense, en premier lieu aux habitations laissées vides par ceux qui ont fuit la ville. Il charge PAQUAY Emmanuel, courtier en grains, de répertorier ces immeubles.