Le 17 novembre 1691, DE MEAN Pierre est baptisé à (?). Ses parents sont DE MEAN Charles et DE HENNISDAEL Dorothée.
Il héritera de la part de sa mère dans les Seigneuries d’Oleye et de Grand-Axhe.
Le 17 novembre 1691, DE MEAN Pierre est baptisé à (?). Ses parents sont DE MEAN Charles et DE HENNISDAEL Dorothée.
Il héritera de la part de sa mère dans les Seigneuries d’Oleye et de Grand-Axhe.
Le 18 septembre 1786, le Comte DE HENNISDAEL DE CREYNHEM François-Bernard-Henry est Seigneur d’Oleye et de Grand-Axhe. Il conservera l’héritage de sa famille à Oleye et à Grand-Axhe jusqu’à la Révolution Française.
Le 28 (29 ?) juillet (le 4 août ?) 1257, DE MONTFERRANT Ermentrude (Ermentris ?) décède à (?). Elle était la veuve de DE JENEFFE Baudouin, châtelain de Waremme, chevalier et maréchal de l’évêché de Liège. Leur fils aîné, DE JENEFFE Libert Butor héritera de leurs biens, dont la seigneurie de Jeneffe et la châtellenie de Waremme.
Elle sera inhumée en l’église de Jeneffe.
Une dalle funéraire la représente debout, les mains jointes. Sa stature est impressionnante, l’effigie mesurant 2 mètres. Elle porte une grande coiffe descendant à l’arrière, jusqu’au bas du cou, et qui couvre une coiffure en voile qui tombre en plis jusqu’au bas du visage. Ce visage est serré dans une guimpe et paré d’un bandeau au front. Ermentrude porte une robe, serrée à la taille et descendant en plis jusqu’au sol, ne laissant voir que les pointes des pieds, avec une ceinture ornée d’une boucle. De ses épaules tombe un manteau, allant largement ouvert jusqu’au sol. L’effigie est placée sous une arcade trilobée. Cette arcade est d’un tracé fort simple, tout comme les consoles sur lesquelles elle repose.
L’inscription est gravée en onciales, sur une bande de largeur peu commune de 8 à 9 centimètres. C’est une des premières en pays mosan dont le texte est en français. Les mots sont séparés par des points. Les caractères sont d’un dessin raffiné:
» CI . GIST . ERMENTRUS . DAME . DE . GINEFFE . CHASTELAINE . DE . WAREMME . ELLE . MORU . LAN . DEL INCARNATION . NOSTRE . SANGNUR . M° . CC° . L° . VII° . IIII° KL . DAOST / PRIIS POR LI «
Le dessin de la figure est assez médiocre; celui des mains, des plis (au bas et à la taille) est de faible qualité. Le dessin de l’arcade est élémentaire. Ceci contraste avec la qualité du tracé de l’épigraphie.
Devenu chevalier, D’AWIR Hugues, surnommé « DE LEXHY » comme son bisaïeul maternel, reçoit pour héritages Lexhy, Limont, Geneffe (Jeneffe), Waroux, la vouerie d’Awans et plusieurs autres biens d’une autre nature. Comme son frère, DE WARFUSEE Libert Sureal, il prend possession des biens qui lui sont destinés, pour en jouir dorénavant.
Ils peuvent ainsi chacun entretenir leur train de vie, dans l’attente du reste de leur succession après la mort de leur père (RAES « à la Barbe ») et de leur grand-père (DE WARFUSEE Libert Sureal, 1er du nom).
DE WARFUSEE Libert Sureal épouse D’AWIR Agnès. L’amour unira ces deux personnes d’un lien sacré. Ils seront très heureux. Ensemble, ils vont acquérir les villages et seigneuries de Geneffe (Jeneffe), de Limont, de Lexhy, d’Awans, de Waroux, de Lonchin (Loncin) et plusieurs autres, avec 200 bonniers de terre, situés au-delà desdites seigneuries.
Ils n’auront qu’une fille, DE WARFUSEE Alix, qui sera leur unique héritière.
D’AWIR Agnès est la fille de D’AWIR Hugues. Ayant atteint l’âge de se marier, elle est demandée en mariage par son proche voisin, DE WARFUSEE Libert Sureal. Par ce mariage, ils cumulent de grands biens et héritages. Agnès a, en effet, hérité des biens de son père décédé, D’AWIR Hugues. Par le mariage, DE WARFUSEE Libert Sureal va entrer en possession de ces biens.
Le 5 juillet 1429, D’ATHIN Wathieu fait relief de la châtellenie de Waremme.
(Relever ou faire relief est le fait, pour un héritier d’un vassal défunt, de verser une somme d’argent à son seigneur en échange de l’investiture du bien. Le vassal paye pour « relever » le fief du mort. Le relief se fait également en cas de vente du bien. Normalement, cette prestation financière est égale à une année du revenu net du fief. Le « relief » est donc lourd.)
Plus tard, DE BOULANT Marie, femme de DE NOUVICE Henri, rachètera la seigneurie de Geneffe et la châtellenie de Waremme à DATHIN Wathieu.
En 1429, la châtelain de Waremme, DE MONDERSDORP Bauduin II, décède à (?), sans postérité légitime. Sa veuve est DE JEUMONT Marie.
Il lègue l’avouerie de Waremme à son cousin DE BOULANT Guillaume.
En 1611, le châtelain de Waremme, DE BARBANCON Everard décède à (?). Il a pour héritières ses deux filles, DE BARBANCON Marie et DE BARBANCON Bonne.
En 1594, le châtelain de Waremme, DE BARBANCON Henri décède à (?). Il lègue la châtellenie de Waremme à son fils unique, DE BARBANCON Everard, dont l’épouse est la Comtesse D’OOSTFRIZE Louise.