En 1959, la Cour d’Assises de Liège jugent les auteurs du hold-up commis l’année passée dans une banque de Fexhe-le-Haut-Clocher et leurs complices :
Le 13 mai 1958, 4 hommes travestis pénètrent dans une banque de Fexhe-le-Haut-Clocher et raflent en l’espace de 2 minutes : 310.000 francs belges, 140.000 francs français et d’autres coupures étrangères. Ils s‘enfuient en s’engouffrant dans une voiture où un complice les attendait. Ils seront arrêtés 3 jours plus tard.
En 1958, DELVAUX André est conseiller fiscal à fiscal à Voroux-Goreux. Il y vit dans une belle villa avec son épouse et son fils. Il sera condamné pour un hold-up à Fexhe-le-Haut-Clocher.
En 1958, KOENER Jean est ardoisier à Voroux-Goreux ( ?). Il est âgé de 26 ans. Il sera condamné pour un hold-up à Fexhe-le-Haut-Clocher.
En février 1984, suite à une demande du sénateur COEN Jules, le ministre des communications, des postes, des télégraphes et téléphones, DE CROO Herman, fait savoir que le bureau de poste de Corswarem sera prochainement équipé de guichets pare-balles.
Ce bureau a été victime d’un hold-up récemment.
En décembre 1983, le député de Huy-Waremme, COEME Guy, interpelle le Ministre de l’Intérieur, NOTHOMB Charles-Ferdinand, sur la recrudescence de la criminalité en Belgique. Il y a eu trois fois plus de hold-up en 5 ans et trois fois plus d’attaques de bureaux de poste en 2 ans.
Le 11 avril 1989, vers midi, un individu armé pénètre dans l’agence du Crédit Professionnel et Dépôt, située au n° 12 de la rue Hubert Stiernet à Waremme. Il s’enfuit en emportant un butin de 1.040.000 francs belges.
Le gérant de l’agence déclare que le malfaiteur semblait bien connaître les lieux et qu’il a pris la fuite à bord d’une Toyota de couleur rouge.
Le 23 décembre 1991, à 19 heures, le magasin « Tandy », situé au n° 28 de la rue Joseph Wauters à Waremme, est victime d’un hold-up. Le gérant résiste et reçoit plusieurs coups de crosse. Le bandit s’empare de la recette du jour, soit environ 50.000 francs belges.
Le 29 novembre 1943, vers 16 heures, un hold-up est commis au Bureau de Poste de Waremme : deux hommes sortent de leur poche un pistolet et placent tout le monde contre le mur, les mains levées. L’un brise la vitre du guichet et maintient le personnel en respect, pendant que son complice escalade les guichets. Un troisième homme entre. Les tiroirs sont fouillés. Ils dérobent environ 10.000 francs. Ils s’évanouissent dans la nature, en interdisant aux gens présents de donner l’alerte avant trente minutes.