Le (?) 1816, TOPPET Nicolas, de Fize-le-Marsal, fusilier à la 3ème compagnie du bataillon de la Milice Nationale n° 44, décède de la « maladie de la mer » (?) à l’hôpital militaire de Maastricht.
Du 25 mai 1940 au 26 février 1941, MATAGNE Joseph-G., natif de Haneffe, soldat au Bataillon Motorisé des Chasseurs Ardennais, blessé, est soigné dans différents hôpitaux militaires. Il sera invalide de guerre.
Le 30 avril 1807, HALING (HALIN ?) Joseph-Pascal, journalier à Remicourt, soldat au 26ème Régiment d’Infanterie de Ligne, écrit à son oncle depuis l’hôpital militaire de Saint-Denis, en France:
« Mon cher oncle,
La présente est pour vous prévenir que je suis malade à l’hôpital militaire de Saint-Denis, et que j’ai la fièvre. Si vous pouviez m’envoyer quelque peu d’argent, suivant votre bonté cela m’aiderait à me rétablir. Vous devez savoir que ce n’est pas avec ce que l’on donne à l’hôpital que l’on puisse se rétablir.
Faite bien des compliments à ma mère à mes mes deux frères et à ma sœur et à tous mes camarades. J’ai encore resté cinq mois et demi à l’hôpital de Mézières.
J’ai écrits trois lettres à ma mère sans avoir aucunes réponses. J’étais dans les prisons.
Mon cher oncle, je suis avec respect votre neveu. »
En 1914, MASY Joseph de Darion est blessé au Fort de Loncin.
(Il sera hospitalisé et soigné au Collège Saint-Louis de Waremme, transformé en hôpital militaire. Il rentrera chez ses parents, avant de passer le frontière hollandaise, pour se rendre en Angleterre et rejoindre ses camarades sur le front de l’Yser)
Début 1945, un hôpital de campagne américain s’installe dans la prairie DE SCHAETZEN, à Oreye, en face de la ferme GERBEHAYE. On y soigne les blessés ramenés du front.
Le 11 décembre 1808, BACHE Martin, natif d’Oreye, âgé de 23 ans, caporal au 112ème régiment d’infanterie de ligne de l’armée napoléonienne, est admis à l’hôpital militaire de Toulon. Il décèdera le 14 décembre des suites d’une fièvre.
Le 10 mai 1940, le capitaine-aviateur CHARLIER Martin, natif de Momalle et résidant à Fexhe-le-Haut-Clocher depuis son mariage, reçoit une balle dans la cuisse, lors d’un combat aérien au-dessus de la Honllade. Il parvient à ramener son appareil à sa base, avant d’être évacué vers un hôpital militaire français.
Le 8 mai 1945, RADOUX Jeanne est de retour à Momalle. Après sa libération du camp de concentration de Ravensbruck en Allemagne, elle a séjourné quelques temps dans un hôpital militaire. Elle pèse encore 38 kilos. Ses enfants ne la reconnaissent pas.
Le 14 juillet 1942, LENOIR Maurice, de Momalle, décède en captivité en Allemagne, à l’hôpital militaire de Minden (Hanovre ?), des suites d’une maladie. Il était âgé de 31 ans. Il a été soldat au 12ème Régiment de Ligne. Il était joueur de football à l’Union Momalloise avant la guerre.
Le 14 septembre 1950, l’adjudant ROMEDENNE Léon, natif de Waremme, décède à l’hôpital militaire de Bruxelles, des suite de sa captivité. Sa veuve est DELANNOY Louise.