Le 24 novembre 1952, un carillon est installé à l’Hôtel de Ville de Waremme.
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Les Résistants occupent les positions stratégiques (Waremme)
Le 7 septembre 1944, les Résistants du Réseau « Otarie » prennent position aux différents points stratégiques de Waremme. Des collaborateurs sont arrêtés et amenés à l’Hôtel de Ville. Sur les marches du Perron, ils sont hués par la population, avant d’être écroués dans les sous-sols. Ces arrestations se font dans la précipitation, « sans modération, ni discernement ».
Les Allemands restituent les clés de la « Kommandantur » (Waremme – Allemagne)
Le 2 septembre 1944, vers 11 heures, les « feldgendarmes » de Waremme quittent la ville. UNFRIED Paul vient déposer les clés de la « Kommandantur » à l’Hôtel de ville, entre les mains du bourgmestre JOACHIM Guillaume. Mais il reste des « Waffen SS » dans la région.
Le Comité de Secours d’Hiver (Waremme)
Le 31 décembre 1940, le Comité de Secours d’Hiver ouvre un bureau à l’Hôtel de Ville de Waremme.
L’office des Carburants (Waremme)
Le 19 septembre 1940, une plaque de cuivre fait son apparition sur la porte d’entrée de l’Hôtel de Ville de Waremme. Elle porte l’inscription en allemand signifiant : « Office des carburants. Responsable DELREZ Alfred ». Ce résidant waremmien est originaire des cantons de l’Est.
Les Renier, imprimeurs de père en fils (Waremme)
Après la Première Guerre Mondiale, RENIER Nestor reprend l’imprimerie de son père, RENIER Céleste, installée en face de l’Hôtel de Ville de Waremme. Il imprimera l’hebdomadaire colombophile « L’Eclair ».
Le « Grand Bazar » (Waremme)
En 1914, une importante quincaillerie est installée en face de l’Hôtel de Ville, au n° 1 de la rue Hubert Stiernet. Elle porte le nom de « Au Grand Bazar ». Elle est dirigée par LACROIX Anatole.
Les Allemands occupent Waremme
Le 17 août 1914, dans l’après-midi, le commandant allemand STERNBERG prend possession de la Gare et donne l’ordre à l’administration communale de Waremme de lui remettre toutes les armes se trouvant dans la ville.
Elles seront conservées durant toute la guerre dans les caves de l’Hôtel de Ville.
Le Bourgmestre de Waremme s’enfuit
Le 6 août 1914, le bourgmestre de Waremme, RENIER Eugène, tient une dernière réunion à l’Hôtel de Ville. Il avertit le Premier échevin, le socialiste JOACHIM Guillaume, qu’il quitte la ville pour mettre sa femme et ses enfants en sécurité à Ostende. Il s’engage à rentrer le plus vite possible. Mais il ne reviendra pas !
L’échevin JOACHIM Guillaume va donc reprendre la fonction. A partir de ce moment, les socialistes vont diriger la commune.
Le directeur de l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme (qui deviendra Athénée Royal), Monsieur MARECHAL, quitte la ville avec le bourgmestre.
Henri Joachim, plombier-zingueur (Waremme)
Vers 1912, JOACHIM Henri, qui exploite un commerce de plomberie-zinguerie, ferblanterie, chaudronnerie, rue de Huy à Waremme (qui deviendra la rue Joseph Wauters), à l’angle de la rue des Fontaines (vers l’Hôtel de Ville), installe ses dépôts, ateliers et autres locaux commerciaux, dans les bâtiments laissés vacants par le déménagement des Ateliers Moës à la rue de Saives (qui deviendra la rue de Huy).