En 1940, le boucher VANVAN Elie est installé au n° 21 B de la rue Joseph Wauters à Berloz. L’immeuble est composé d’une habitation, d’une boucherie, d’un garage et d’un jardin. Il a été construit il y a 9 ans.
En 2011, le café « Le Vieux Haneffe » est installé à Donceel. Il est labellisé « Bistrot de Terroir ». Il est exploité par EVRARD Philippe, dans une ancienne bâtisse construite par les Templiers au XIVe siècle.
En 1963, DELISSE Félix revend le cinéma « Lucky » de Remicourt à CORRIN Lambert, qui transforme l’immeuble en profondeur. Il le loue ensuite aux époux PIROTTE Léon et MIEVIS Louisa. Cette dernière exploitera le cinéma de 1964 à 1967.
En 1980, une équipe de bénévoles démolit la vieille construction qui a abrité l’association de jeunes « Kiludy », à Remicourt.
Le 8 juin 1922, PETITJEAN Hector, instituteur à l’école des garçons de Remicourt, déclare que deux pièces d’habitation lui suffisent et que les autres pièces de l’immeuble peuvent être occupées par BRONCKART Edgard, garde-champêtre, qui s’acquittera du loyer en nettoyant les écoles et la Maison Communale.
En 1992, la société colombophile de Waremme « L’Epervier » déménage rue Gustave Renier, dans un immeuble mis à sa disposition par la commune pour 20 ans.
En (?), des vestiges sont mis au jour à Aineffe, à moins de 100 mètres du petit tumulus qui se trouve à la sortie du village, en direction de Chapon-Seraing, face à un monticule de marne, lors du creusement de l’allée d’un immeuble.
Le 16 janvier 2019, entre 26 et 28 migrants sont appréhendés par la police fédérale, soutenue par la police de Hesbaye. Ils squattaient, depuis un certain temps, les bâtiments des anciens « Etablissements Derwa », situés rue de la Costale à Waremme, près de l’autoroute.
En 1889, un immeuble est construit (par le Collège Saint-Louis ?) près du viaduc de la rue de Faimes (qui deviendra plus tard la rue de Huy), à Waremme.
Il sera menacé de destruction à plusieurs reprises, mais il y échappera si longtemps qu’il sera rebaptisé « L’Alcazar » (forteresse espagnole du Moyen-Âge).
Vers 2001, la commune de Remicourt, en collaboration avec le « Home Waremmien », érige un immeuble de 12 appartements, dans le quartier de la gare.