Le café « L’Hirondelle » (Waremme)

café l'hirondelle

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Vers 1912, le café « L’Hirondelle » est installé dans un ancien immeuble situé à l’angle de la rue du Pont et de la rue des remparts, à Waremme. Il est tenu par DELAIRESSE.

Un arbre sur un immeuble (Waremme)

Le 8 juin 2016, un platane d’une dizaine de mètres de hauteur s’abat sur un immeuble à appartements, au n° 1 de la rue de Sélys-Longchamps, à Waremme.

Les Résistants logés à Waremme

En septembre 1944, près la Libération de la Hesbaye par les Américains, les Résistants viennent s’installer à Waremme:

  • Ceux du Groupe Otarie quittent Les-Waleffes pour venir à Waremme. La plupart d’entre-eux sont hébergés dans les locaux de l’Ecole Moyenne de l’Etat, rue Charles Lejeune.
  • Ceux du Front de l’Indépendance, moins nombreux, sont regroupés dans l’immeuble des Oeuvres Sociales, au n° 19 de la rue Joseph Wauters.

Le café d’Irma Delvenne (Bergilers)

En janvier 1940, DELVENNE Irma exploite un café à l’angle de la rue Principale et de la rue Sous-la-Motte, à Bergilers. (Plus tard, cet immeuble sera occupé par la boucherie « TROQUETTE »).

Georges Duchesne, boucher (Hollogne-sur-Geer)

En janvier 1940, DUCHESNE Georges exploite une boucherie au centre de Hollogne-sur-Geer. (Cet immeuble sera plus tard occupé par la boulangerie de MATAGNE Jean, dit « Jeannot »).

La teinturerie Maquet (Waremme)

En janvier 1940, la teinturerie « MAQUET » est installée rue Porte de Liège, à Waremme. (Cet immeuble deviendra plus tard le local de la Section Waremmienne de la Croix-Rouge) 

La propriété « Haumont » (Waremme)

En août 1944, la propriété « HAUMONT » est située avenue Emile Vandervelde à Waremme. Il y a de hauts poiriers dans le jardin. (C’est à cet endroit que s’installera plus tard la Justice de Paix).

Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.

  • La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
  • Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
  • La maison « RENIER » est détruite.
  • La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
  • Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
  • La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.

Le personnel de « Hesbaco » (Waremme)

En juin 1944, une dizaine de personnes sont employées par la société « Hesbaco » de Waremme (anciennement les Etablissements Wéry), située à la rue de Huy à Waremme.

En raison du risque d’attaque aérienne, et sous la pression du personnel, la direction a aménagé un abri au rez-de-chaussée de l’immeuble.

Camille Renier, retraité (Waremme)

En juin 1944, RENIER Camille et son épouse (?) Charlotte occupent une ancienne construction, située à l’entrée de la rue Gustave Renier à Waremme, à côté de la bâtisse occupée par WUIPIEDS Emile et son épouse MASSET Clara.

La maison « RENIER’ donne en plein sur le carrefour.

RENIER Camille a pris sa retraite d’instituteur en chef de l’Ecole Communale de Waremme, il y a une dizaine d’années.