Emile Nélis, horloger-bijoutier (Waremme)

En 1934, l’horloger-bijoutier NELIS Emile achète un bâtiment rue Joseph Wauters à Waremme et le loue à HEYNE Léon, qui y ouvrira le café « Aux Sports ».

Ce dernier habitera le bâtiment avec sa femme MOUREAU Jeanne et ses beaux-parents, GLADE Joseph, dit « Paille », retraité du Chemin de Fer, et MOUREAU Thérèse, dite « Mamme Tîne ».

Fernand Lallemand, ébéniste (Waremme)

En 1934, l’ébéniste LALLEMAND Fernand achète un bâtiment rue Joseph Wauters à Waremme. Il transforme le rez-de-chaussée et y installe un petit magasin.

Gustave Lecloux vend le « Petit Collège » (Waremme)

En 1934, LECLOUX Gustave vend son immeuble de la rue Joseph Wauters à Waremme, appelé « Le Petit Collège », car il abritait jusque-là quelques classes primaires du Collège Saint-Louis.

Il scinde le bâtiment en deux lots, achetés par NELIS Emile et par l’ébéniste LALLEMAND Fernand.

Le Petit Collège (Waremme)

Vers 1930, quelques classes primaires (3) du Collège Saint-Louis de Waremme sont installées dans une grande bâtisse de la rue Joseph Wauters, appelée « Le Petit Collège ».

Cet immeuble appartient à LECLOUX Gustave.

Jean Gielen, pharmacien (Waremme)

En 1935, le pharmacien GIELEN Jean s’installe à l’angle de la rue Joseph Wauters et de la rue Zénobe Gramme, à Waremme. Cet immeuble appartient aux soeurs DEBRY, qui y ont exploité une droguerie, avec leur frère décédé.

Jugeant les locaux trop grands pour sa pharmacie, GIELEN Jean continue à vendre des pots de peinture, des tapis, des vernis, de l’ammoniaque, …, dans une partie de ceux-ci. Ces locaux communiquent entre eux.

La pharmacie « Gielen » (Waremme)

En juin 1944, la pharmacie « Gielen » est installée à l’angle de la rue Joseph Wauters et de la rue Zénobe Gramme, à Waremme. L’immeuble appartient aux demoiselles DEBRY.

Une partie de l’immeuble est aménagée en droguerie et l’autre en pharmacie.

Les réserves de produits chimiques sont stockées dans la cave et des touries en verre, recouvertes d’un filet de paille tressée, sont entreposées dans la cour sous un petit auvent.

Le pharmacien, GIELEN Jean, est assisté de:

  • GIELEN Eugène
  • PIRLOT Raphaël
  • SNEPERS Albert

Le retour des gendarmes (Waremme)

En juin ou juillet (?) 1940, lorsque le commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, l’adjudant MARECHAL, revient dans la ville, au terme de la « Campagne des dix-huit jours », il installe le bureau de la brigade au rez-de-chaussée de l’immeuble situé au n° 10 de l’avenue Reine Astrid. En effet, les locaux de la gendarmerie ont été réquisitionnés par la Kommandantur.

Madame Maréchal trouve refuge avenue Reine Astrid (Waremme)

Le 13 mai 1940, Madame MARECHAL Lucie, l’épouse du commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, expulsée de la caserne par les Allemands, s’installe avec sa fille Arlette, dans un des immeubles de la pâtissière DELVAUX Renée. Cet immeuble, situé au n° 10 de l’avenue Reine Astrid, est momentanément inoccupé.

Pour le déménagement, Madame MARECHAL est aidée par « VANAKE Djan » et sa charrette à bras.

Léon Sény, notaire (Waremme)

En août 1944, l’étude du notaire SENY Léon est située rue de la Porte de Liège à Waremme. (Cet immeuble sera plus tard occupé par le notaire REARD)

Hommage à René Jadoul (Waremme – Congo)

Le 18 septembre 1949, une plaque commémorative est inaugurée à l’avenue Reine Astrid à Waremme. Elle est apposée sur la façade de la maison natale de JADOUL René, agent de l’Etat Indépendant du Congo, décédé en Afrique en 1903.

(Cette plaque disparaîtra lors des transformations apportées à cet immeuble.)