Le Tumulus de la Plate Tombe (Waremme)

tumulus de la plate tombe

tumulus de la plate tombe

Le 9 décembre 1991, une zone de protection est établie autour du site du tumulus romain, dit « de la Plate Tombe », situé au Sud de Waremme, dans l’angle formé par la Chaussée Romaine et la rue de Tumulus.

Très réduite, sa hauteur n’excède pas 3 m, pour des axes de 19 m sur 18m50. Sa forme, presque carrée à la base, est due aux empiètements des charrues. Le tumulus est enclavé entre deux terrains bâtis.

Les Etablissements Doyen (Waremme)

En 1939, les « Etablissements DOYEN », entreprise spécialisée dans la fabrication d’équipements industriels agricoles, sont installés près de la gare de Waremme (à l’emplacement de la future rue des Combattants et des immeubles qui la borderont).

Il faut mettre les biens des sinistrés à l’abri (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, les jeunes de la section locale de l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (ARFEG) travaillent sous la surveillance de WEBER Jean-Baptiste.

Il décide d’entreposer les meubles et les objets de valeur, des immeubles touchés par les explosions, dans les locaux de l’ancienne centrale électrique. En raison de la tombée de la nuit, ce travail sera surtout effectué le lendemain.

En attendant, des gardes-champêtres et des gendarmes surveillent la zone sinistrée.

Une partie de la rue Joseph Wauters (Waremme)

En août 1944, en remontant la rue Joseph Wauters, depuis l’angle de la rue Zénobe Gramme, se trouvent les immeubles suivants:

  • la pharmacie « GIELEN », à l’angle
  • la mercerie « LEKEUX »
  • la pâtisserie « DELVAUX »
  • le tailleur « HELLINGS »
  • la maison « PIROTTE »
  • le magasin de l’ébéniste « LALLEMAND »
  • le café « Aux Sports »
  • la Banque de Bruxelles
  • la maison « GERMEAU »
  • le magasin « VRANKEN »

Saccage des Etablissements « Doyen » (Waremme – Allemagne – Etats-Unis)

Le 24 novembre 1918, des Waremmiens échauffés par quatre années d’occupation, de frustrations économiques et alimentaires se livrent à une justice expéditive envers ceux qu’ils considèrent comme des collaborateurs économiques.

Les « Etablissements Doyen et Fils » sont vandalisés.

Cette entreprise vend du matériel agricole provenant des Etats-Unis et d’Allemagne. Durant le conflit, elle a poursuivi la vente de moteurs allemands. Les Waremmiens ont vu d’un mauvais oeil la proximité de l’entreprise avec les occupants.

Les dégâts sont évalués à 19.892 francs pour les immeubles et à 291.966 francs pour les « meubles », dont 55.398 francs de vin.

Destructions à Waremme

De 1914 à 1918, durant la première Guerre Mondiale, il y aurait (seulement) eu 16 immeubles détruits à Waremme.

La Société « Waremo » (Waremme – Ténérife)

Le 12 février 1970, la Société « Waremo » présente à Waremme les audacieuses réalisations immobilières entreprises par la « Ten-Bel » à Ténérife, dans le cadre prestigieux de la Costa del Silencio.

Début des travaux du Complexe « Les Clés du Bonheur » à Waremme

Le 2 juillet 2012, le chantier de revitalisation du site « Dengibéton », situé près de la gare de Waremme, est entamé. Trois immeubles, d’un total de 70 appartements, y seront construits, ainsi qu’un parking de 140 places. Le complexe sera baptisé « Les Clés du Bonheur ».

La « Villa Lambert » de Waremme est protégée

En novembre 2011, la villa « Lambert » et la vaste propriété attenante, située rue des Combattants à Waremme, fait l’objet d’un projet immobilier. La ville a interdit la démolition de l’ancienne villa, appréciée de tous les Waremmiens, mais a autorisé le projet de construction de huit immeubles à appartements répartis en trois blocs sur la propriété : 25 logements dans le premier, 37 dans le deuxième et 10 dans le troisième (soit 72 au total).