Les projets de la majorité communale (Waremme)

Le 1er décembre 2025, le collège communal de Waremme présente son « Programme Stratégique Communal » (PSC) pour les 5 années à venir. Il axera ses actions principalement sur:

  • L’extension du Zoning Industriel pour permettre la création de nouveaux emplois.
  • La lutte contre les cellules commerciales inoccupées au centre-ville.
  • La lutte contre les dépôts clandestins d’immondices par l’achat de nouvelles caméras de télé-surveillance.
  • L’achat d’un nouveau conteneur sélectif qui triera automatiquement les déchets.
  • Le recrutement d’un agent spécialisé dans la lutte contre la drogue.
  • La création de 20 places supplémentaires pour l’accueil de jeunes enfants.
  • La verdurisation des écoles.
  • L’installation de rampes pour personnes à mobilité réduite (PMR) dans les infrastructures sportives.
  • Permettre aux Waremmiens de se prononcer sur la programmation du Centre Culturel.
  • La réalisation d’un plan anti-inondations.
  • La détermination de lignes directrices de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire.
  • La promotion de la mobilité douce.
  • La végétalisation des cimetières.

Fin d’un dépôt d’immondices (Waremme)

En 1948, la commune de Waremme rachète une parcelle de terrain, située à la jonction de la rue Gustave Renier et de la rue Ernest Malvoz, pour éliminer le dépôt sauvage d’immondices qui s’y est constitué.

Les immondices (Waremme)

En octobre1947, le Conseil Communal de Waremme vote l’interdiction de déposer des immondices sur la voie publique.

L’hygiène à la fin du XIXème siècle (Waremme)

En 1895, l’hygiène est déplorable à Waremme. Il n’y a pas d’égouts pour collecter les eaux usées. Les immondices ne sont pas ramassées. Dans de telles conditions, des épidémies de fièvre typhoïde se développent régulièrement.

Les conteneurs à puce sont distribués à Waremme

Le 1er juillet 2009, les habitants de Waremme reçoivent deux conteneurs à puce pour éliminer leurs ordures. L’un est destiné aux immondices qui ne se récupèrent pas, l’autre aux déchets organiques.

Les rues sont des « égouts à ciel ouvert » (Waremme)

En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.