Subside confirmé pour la nouvelle église (Remicourt)

En mai 1910, un Arrêté Royal confirme le subside communal pour la construction de la nouvelle église de Remicourt.

Désaccord à propos de la nouvelle église (Remicourt)

En 1908, un conflit éclate à Remicourt. Un subside communal est d’abord accordé pour la construction d’une nouvelle église, avant d’être retiré. (Il sera finalement imposé par Arrêté Royal en mai 1910)

Pas de remise pour Jacques Bolland (Crisnée)

Le 30 novembre 1907, le conseil communal de Crisnée décide qu’il n’y a pas lieu de faire, à BOLLAND Jacques, une remise de son imposition communale de 1907, car si un poulain de 2 ans ne figure pas au rôle, c’est qu’il ne travaille pas, tandis que celui du réclamant a fait, seul, en 1906, tous les travaux des champs.

Taxation des Sucreries (Waremme)

Le 17 janvier 1873, le Conseil Communal de Waremme impose les fabriques de sucre pour les dégradations causées aux voiries, pendant la campagne sucrière 1871-1872:

  • 689 francs pour la Société d’Agriculture Industrielle;
  • 301 francs pour la sucrerie « MOMMENS-LAURENTY »

Le chemin de Huy et du Moulin à Vent aboutit à la Société d’Agriculture Industrielle; le chemin de Longchamps aboutit à la Sucrerie « MOMMENS-LAURENTY ». 

Maintien de l’imposition des sucreries (Waremme)

Le 18 mai 1867, le Conseil Communal de Waremme constate que les péages perçus sur les voiries de la commune ne suffisent pas à la réparation des dégradations causées à celles-ci par les charrois des sucreries. Il décide donc de maintenir les impositions établies à leur charge, malgré leur réclamation.

Réclamation contre l’imposition communale (Waremme)

En mars (?) 1867, les sucreries LAURENTY et MOMMENS introduisent une réclamation contre l’imposition mise à leur charge par la commune de Waremme, pour la réparation des voiries communales. Elles déclarent participer déjà à ces réparations par les droits de péage qu’elles acquittent lors de leurs transports.

La réparation des voiries coûte cher (Waremme)

Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:

  • le charroi des transports de briques nécessaires à la construction de la sucrerie « MOMMENS »;
  • par le transport des betteraves vers les sucreries de Waremme et des environs;
  • par le transport du charbon nécessaire au fonctionnement de ces entreprises .

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie LAURENTY: 427, 45 francs pour 1865 et 348,63 francs pour 1866
  • Sucrerie MOMMENS: 100 francs pour 1866

Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie de Les Waleffes: 404 francs pour 1865 et 485 francs pour 1866
  • Sucrerie de Hollogne-sur-Geer: 816 francs pour 1865 et 980 francs pour 1866

Le droit du soixantième (Liège)

En 1772, les marchandises, manufacturées et denrées, qui transitent par les nouvelles routes du Pays de Liège, sont imposées au « Droit du Soixantième ».

Registre Cadastral en Hesbaye

Le 5 septembre 1807, la Loi des Finances de l’Empire impose un registre cadastral pour l’ensemble des parcelles de Hesbaye.