Le 26 février 1989, DEPREZ Hans est sacré « Prince carnaval » de Waremme, sous le nom de Hans 1er.
Célibataire de 25 ans, il travaille aux « Imprimeries Renier » et fait partie du Comité du Carnaval depuis 4 ans.
Il a joué de la grosse caisse dans la fanfare de « L’Union Waremmienne ».
vincent mignolet
Le 10 février 2003, lors du conseil communal de Waremme, l’échevin de la culture, MIGNOLET Vincent, propose qu’un système anti-vol soit installé à la Bibliothèque Communale de Waremme.
Depuis son déménagement dans l’ancienne imprimerie Renier, rue du Rèwe, les vols s’y multiplient. Le coût d’installation de ce système est évalué à 12.000 euros.
Le 16 juin 2000, les bureaux du CPAS de Waremme et la Bibliothèque Communale de Waremme sont installés dans les anciens locaux de l’imprimerie « S.A. Renier & Cie », rue Sous-le-Château à Waremme.
En 1973, l’imprimerie « Renier », installée rue Sous-le-Château, devient la S.A. « Renier & Cie ».
En 1967, RENIER Nestor et son fils RENIER Céleste achètent une série de maisons ouvrières rue Sous-le-Château à Waremme et y construisent la nouvelle « Imprimerie RENIER ».
En novembre 1964, l’Imprimerie RENIER Nestor est installée au n° 6 de la rue Hubert Stiernet à Waremme. Les n° de téléphone sont le 321.68 et le 333.00. Les numéros de registre de commerce sont Liège 15330 et Liège 78000.
En 1949, l’imprimeur de Waremme, RENIER Nestor, acquiert sa première linotype, une machine à composer les lettres d’imprimerie en fondant les caractères par lignes complètes (la première en Hesbaye).
Le 7 avril 1949, le premier numéro du journal « Les Echos de Waremme » est publié (par l’imprimeur RENIER Nestor ?). Son rédacteur en chef est RENSON René. Les collaborateurs bénévoles qui y participent sont:
En septembre 1917, l’imprimerie – lithographie RENIER Céleste est installée au n° 2 de la place de l’Hôtel de Ville à Waremme.
En 1895, RENIER Céleste achète du matériel d’imprimerie et s’installe dans les caves du café et relais de Poste « Au Cœur d’Or ». Il achètera par la suite un nouveau bâtiment, sans disposer encore de force motrice. Il utilise encore une presse à bras et des machines « automatiques » mues à la pédale ou au volant, par des apprentis ou plus souvent par des femmes.