La nuit du 1er au 2 août 1581, CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », poursuivie pour sorcellerie par la Cour de Justice de Crisnée, s’évade de la cave où elle est incarcérée, en forçant la serrure de la trappe qui la ferme, à l’aide d’une « pierre à feu ». Elle se réfugie chez LEALE Tossin.
Le 2 août 1581, vers 15 heures, le sergent de la ville de Crisnée, GERAR Jean, retrouve CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », chez LEALE Tossin. Elle s’est enfuie de la geôle (cave) où il la maintenait incarcérée durant son procès pour sorcellerie devant la Cour de Justice de Crisnée.
Le 1er mai 1582, la Cour de Justice d’Oreye informe la Cour de Justice de Crisnée qu’elle a arrêté et incarcéré pour sorcellerie DE VOTRENGE Anne, dite « MICHIEL Anne », et « Anna la Magicienne », qui habite au Brouck à Waremme.
En 1812 (?), VANDEVELDER Pierre-Joseph, de Crenwick, conscrit sous le n° 80 du tirage au sort, est incarcéré (?) au Dépôt des Réfractaires.
En avril 1942, LEBEAU (?), de Waremme (?), est arrêté par les Allemands. Incarcéré au camp de Mauthausen, en Allemagne, il y décèdera la même année.
En 2011, il y a une rue Cyrille Jacquemin à Darion.
Alors qu’il récoltait des vivres pour ses amis Résistants, JACQUEMIN Cyrille a été dénoncé à l’ennemi et a été arrêté dans la région de Verviers. Il a été incarcéré deux mois à la Citadelle de Liège et a été fusillé en novembre 1943, avec 6 camarades.
En 2011, il y a une place Cyrille Jacquemin à Geer.
Alors qu’il récoltait des vivres pour ses amis Résistants, JACQUEMIN Cyrille a été dénoncé à l’ennemi et a été arrêté dans la région de Verviers. Il a été incarcéré deux mois à la Citadelle de Liège et a été fusillé en novembre 1943, avec 6 camarades.
En (?), durant la Première Guerre Mondiale, LEJEUNE Louis de Remicourt est interné à Parchim, en Allemagne.
Durant le Première Guerre Mondiale, ROBINET Jules est le percepteur des postes à Remicourt. Son fils ROBINET Hervé et sa fille ROBINET Zélina espionneront les Allemands. Ils seront arrêtés et internés à la prison Saint-Léonard à Liège. Ils seront sauvés par l’Armistice.
En 1810, PONCELET Arnold, journalier à Remicourt, conscrit, est incarcéré (?).