Le 7 février 1904, Baltimore est la proie d’un gigantesque incendie. Plus de 1500 bâtiments sont réduits en cendres.
Archives par mot-clé : incendie
Mort de Jules DUMONT D’URVILLE (France)
En 1842, à Meudon en France, DUMONT D’URVILLE Jules, le découvreur de la Terre Adélie, perd la vie dans l’un des premiers accidents ferroviaires de l’Histoire. Le train, dont les voitures sont en bois, déraille et provoque un incendie. 57 personnes sont brûlées vives, dont DUMONT D’URVILLE Jules, sa femme Adèle et leur fils de 16 ans.
Incendie à la Frit’ Rie (Waremme)
Le 29 mars 2015, un feu se déclare dans un bac à graisse de « La Frit’ Rie », installée rue Gustave Renier, à Waremme. Les pompiers maîtrisent l’incendie, mais les dégâts sont importants.
Des Résistants abattus (Momalle – Allemagne)
Dans la nuit du 6 au 7 septembre 1944, quelques maquisards du groupe « Zoro » s’introduisent dans le fenil de la ferme « DENGIS », rue du Chêne à Momalle, pour s’y reposer. Ils sont repérés par les Allemands qui encerclent le bâtiment et l’incendient. Les Résistants tentent d’échapper aux flammes, mais ils sont abattus dès leur sortie.
Les victimes sont, notamment:
- DELHALLE Jean-Louis, dit « Parfait »
- DESSART Maurice, dit « Timide »
- KNAEPEN Alphonse, natif de Geet-Betz
Nouvel accrochage et découverte de corps (Freloux – Streel – Allemagne)
Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro », LINCHET Henri, dit « Alexandre », envoie trois de ses hommes à Freloux, pour récupérer une voiture en panne:
- BOEKER Antoine, dit « Constant », qui effectue la réparation
- MASSART Albert, dit « Max », qui fait le guet
- LITTLE Henry, dit « Jim », qui fait le guet
Ils sont attaqués par un véhicule blindé allemand. Ils prennent la fuite en direction de Streel et rejoignent leurs camarades, poursuivis par les Allemands. LINCHET Henri, dit « Alexandre », couvre leur retraite. Il est abattu par une rafale d’arme automatique. RORIVE Jean est fait prisonnier (il sera emmené à Fologne et exécuté), MASSART Albert est blessé (il sera achevé à Otrange). BOEKER Antoine et DETHIER Edmond parviennent à s’enfuir en direction de Fexhe-le-Haut-Clocher.
Les Allemands découvrent les neuf corps de leurs camarades exécutés, dans la ferme de Streel. Ils l’incendient.
Embuscade au « Cheval Blanc » et exécutions (Freloux – Streel – Allemagne)
Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro, LINCHET Henri, dit « Alexandre », poste une dizaine de ses hommes en embuscade, au lieu-dit « Le Cheval Blanc », à Freloux, notamment:
- BOEKER Antoine, dit « Constant »
- MASSART Albert, dit « Max »
- PEILLIEN Jean-Baptiste, dit « Ramuntcho »
- LITTLE Henry, dit « Jim »
- RORIVE Jean, dit « Grincheux »
- DETHIER Edmond
- FRANKINET Laurent
- YOUNGBLOOD Jérôme
- …
Ils attaquent un convoi allemand de trois véhicules, venant de Noville. Après un bref combat, les Résistants font huit prisonniers, qui sont emmenés à la ferme de Streel.
Une seconde colonne de véhicules allemands arrive sur les lieux. Ces militaires constatent les traces de l’agression et trouvent des cadavres de leurs compatriotes dans un champ voisin. Ils envahissent le moulin de Momalle, tout proche, le fouille à la recherche des « terroristes », prennent les habitants en otage et incendient les bâtiments.
Un peu plus tard, un camion allemand est encore mitraillé dans la campagne entre Fooz et Freloux. Le chauffeur, blessé, est emmené dans la cour de la ferme de Streel.
Des instructions sont demandées à DERWA Arthur, dit « Zoro », sur le sort à réserver aux Allemands détenus dans la ferme. Il répond qu’il ne faut pas s’embarrasser de prisonniers en ce moment. Ils sont exécutés d’une balle dans la tête et enterrés dans le jardin du fermier.
Le terrain d’aviation de Jeneffe est attaqué
Le 10 mai 1940, vers 14h30, cinq « Heinkel » allemands attaquent les avions belges qui se trouvent sur le terrain d’aviation de Jeneffe: neuf « Fox-Hispano » de l’escadrille de reconnaissance de Gossoncourt. Moins d’une demi-heure plus tard, onze Messerschmitt Me-109 allemands mitraillent les avions belges. Sept d’entre-eux flambent. Les deux autres sont inutilisables.
Mort de Léonie Baugnet (Waremme – Chapon-Seraing)
Le 10 août 1944, l’industriel de Waremme, MOES Edouard, et son épouse BAUGNET Léonie se rendent à Huy afin d’obtenir la prorogation de leur permis de circuler. C’est l’homme de confiance de MOES Edouard, WERTZ Pierre, qui conduit la voiture. Leur permis est renouvelé pour trois mois.
Sur le chemin du retour, MOES Edouard a pris place sur le siège passager et son épouse sur la banquette arrière. A hauteur de Chapon-Seraing, des « Thunderbolt » attaquent le véhicule. MOES Edouard est légèrement touché, mais son épouse l’est plus gravement. Le véhicule est incendié.
Après l’attaque, HEYNE Jules arrêtent son véhicule « Minerva » et propose de transporter BAUGNET Léonie vers une clinique. Elle décède durant le trajet, à l’entrée de Viemme.
Le camion « Delhaize », mitraillé (Waremme – Faimes)
Le 10 août 1944, un camion de la firme « Delhaize » de Waremme est mitraillé par un Thunderbolt, à Faimes, non loin des Etablissements Geuns et Fils. Le véhicule est incendié, mais le conducteur peut se mettre à l’abri.
Incendie chez « Mélapaille » (Waremme)
Le 1er avril 1937, un incendie se déclare à l’usine « Mélapaille » de Waremme. Les pompiers utilisent une pompe à bras pour tenter d’éteindre le brasier.