Le 29 janvier 1846, l’inondation est au plus haut à Liège. L’eau arrive rue Vinave d’Île, jusqu’au Passage Lemonnier. On circule en bateau tout autour de Saint-Paul (il y a un pied d’eau dans l’église), du quai jusqu’au Pont d’Avroy et au-delà, chaussée Saint-Gilles, près de la Société d’Emulation, place Saint-Barthélemy. Cette inondation est la plus forte depuis 1748.
Le 28 février 1844, les eaux de la Meuse sont au plus haut à Liège. Il y a de l’eau sur la Place Saint-Paul et dans l’église. On circule en bateau rue Soeur-de-Hasque. L’inondation de la Boverie durera 3 semaines.
Vers le 12 janvier 1841, il y a de grandes inondations dans la région liégeoise.
Le 15 août 1828, le Geer déborde à Waremme.
En décembre 1926, le Roi ALBERT 1er parcourt, en barque, les rues de Liège inondées par une crue exceptionnelle de la Meuse.
Le 10 août 1890, un gros orage éclate à Waremme. Le Geer déborde comme il ne l’a jamais fait.
Le 27 juin 1970, un orage diluvien provoque l’inondation de nombreuses caves dans plusieurs quartiers de Waremme.
En 1984, le Service d’incendie de Waremme a reçu 955 appels; 581 du Service 900 et 374 de privés.
En 1983, le Service Régional d’Incendie est intervenu 1.003 fois: 562 fois sur appel au service 900 et 441 fois sur appel privé.
Dans le détail, les pompiers sont sortis pour:
Les ambulanciers sont sortis pour:
Le patron de la caserne est le commandant THOMAS.
Le 11 juillet 1846, le tout nouvel élu provincial, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, interpelle la Députation Permanente sur la lenteur à faire exécuter des travaux à la rivière « Le Geer »; travaux pourtant programmés depuis le 8 août 1844.
Il insiste sur l’utilité pressante de ces travaux, car de magnifiques prairies sont transformées en marais; les chemins vicinaux aux abords du cours d’eau sont impratiquables et, le plus grave, des fièvres dangereuses sévissent dans les villages dont les prairies sont plus particulièrement inondées.