Le 11 avril 2025, les 140 travailleurs des services communaux de Waremme (crèche, administration, service des travaux) mènent un mouvement de grève et manifestent sur le marché hebdomadaire, en raison de l’insalubrité du bâtiment de la voirie, de la non revalorisation des salaires, du problème des pensions, du refus d’accorder des chèques-repas, …
Le 3 mars 2025, suite à la fermeture des 3 crèches exploitées par l’ASBL « Espaces d’Enfances », dont la crèche « Ô Comme 3 Pommes » de Waremme, en raison de leur non conformité, insalubrité et non renouvellement du contrat de location des immeubles, une crèche est ouverte dans un bâtiment de l’Athénée Royal de Waremme, sur le site des »Chavilles », rue du Fond d’Or. La directrice des GELAESEN Amandine.
Le 31 décembre 2024, la crèche « Ô Comme Trois Pommes », installée au n° 1/A de la rue du Rèwe à Waremme, ferme définitivement ses portes pour non conformité et insalubrité. Elle accueillait 24 enfants.
En juin 2000, le personnel de la Poste de Remicourt reçoit un courrier de la Direction Générale qui lui apprend qu’il sera transféré dans les bureaux de la Poste de Waremme, au plus tard le 1er octobre, en raison de l’insalubrité et du manque de sécurité des locaux de Remicourt.
En 1866, plusieurs réclamations sont adressées par les habitants aux autorités de Waremme, à propos de l’insalubrité des rigoles de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), de la rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid) et de la rue du Moulin.
Ces rigoles sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.
Le 18 octobre 1850, le comité de salubrité publique de Waremme, présidé par LEJEUNE Guillaume, fils du Bourgmestre, rend un rapport concernant l’état sanitaire de la commune.
Il constate que l’insalubrité de certaines zones de la commune compromet gravement la santé des habitants et constitue un foyer latent d’épidémies.
Le comité dresse une description précise de l’état de la ville : un cimetière au centre de l’agglomération, le mauvais état de petites ruelles humides et malsaines, l’existence de mares d’eau stagnante et corrompue, le défaut de rigoles devant servir à l’écoulement des eaux, la mauvaise disposition des dépôts de fumier.
Les solutions qu’il préconise exigent une dépense évaluée à 20.293,15 francs.
Le 6 juillet 1986, la salle de cinéma du Métropole, située avenue Reine Astrid à Waremme, ferme définitivement ses portes, suite à une baisse de fréquentation. De plus, les Services d’Incendie de la ville ont décrété que la salle était insalubre.
Le 14 décembre 1878, le conseil communal de Waremme décide la démolition de l’Eglise Saint-Pierre pour insalubrité et sa reconstruction.
En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.