Mort du curé Jacquinet (Hodeige)

Le 10 septembre 1898, le curé de Hodeige, l’abbé JACQUINET Jean-Nicolas-Joseph, décède à (?), à l’âge de 78 ans. Il sera enterré dans le cimetière du village, auprès de son prédécesseur. Sur son tombeau, l’inscription suivante est gravée:

« ICI REPOSE Mr J-N JACQUINET REVEREND CURE DE HODEIGE PIEUSEMENT DECEDE LE 10 7bre 1898. RIP »

Mort du curé Delvaux (Hodeige)

Le 17 avril 1871, le curé de Hodeige, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, décède à Hodeige, à l’âge de 62 ans. La paroisse lui fera élever un monument funéraire dans le cimetière du village, près du chœur de l’église. Sur cette pierre tombale l’inscription suivante sera gravée:

« A LA MEMOIRE DU Rend Mr JEAN-LOUIS DELVAUX CURE A HODEIGE DEPUIS 1834. Y DECEDE le 17 AVRIL 1871 A L’AGE DE 62 ANS. LA COMMUNE RECONNAISSANTE. »

Nouvelle cloche pour l’église (Hodeige)

En 1841, une nouvelle cloche de 993 kilos (sans le battant) est placée dans la tour de l’église de Hodeige. Elle est dédiée à Saint-André. Elle a été fondue par GAULARD A.T.C. Père. Elle donne la note « Fa ». Elle remplace la cloche qui s’est fêlée l’année dernière.

Elle porte l’inscription: « J-L DELVAUX Curé P-J CHABOT Bourgmestre S. ANDREA ORA PRO NOBIS FONDEU A LIEGE PAR A-T-C GAULARD PERE, 1841« 

Mort de Dieudonné Printhaye (Hodeige)

Le 20 novembre 1749, le curé de Hodeige, l’abbé PRINTHAYE Dieudonné, décède à (?). Il sera enterré dans le chœur de l’église du village.

Sa pierre tombale portera l’inscription « Hic Jacet Reverendus Admodum Dominus D Deodatus Printhaye Pastor in Hodeige. Necnon Concilii Hozemontensis Decanus Meritissimus. Qui Obiit 20 9bris 1749. Requiescat In Pace« 

La grosse cloche de Hodeige

En 1680, la grosse cloche de l’église de Hodeige est refondue, sous le pastorat de l’abbé PRINTHAYE Dieudonné. La nouvelle cloche pèse 719 kilos, soit 1539 livres.

Elle porte l’inscription « Sancte Andrea ora pro nobis. Ceste cloche a esté refondue par Me Roch GROGNARD, du temps vénérable Mre Dieudonné PRINTHAYE, pasteur de Hodeige. L’an 1680. »

Elle sera bénie par le doyen du Concile de Hozémont, qui recevra 10 florins brabant à cette occasion.

Inscription des Juifs (Belgique)

A partir de novembre 1940, les Juifs de Belgique, âgés de plus de 15 ans, doivent se faire inscrire à la Maison Communale dont ils dépendent.

La ferme en carré d’Oreye

En 1981, un agréable site de prairies, parcourues par le Geer et plantées de peupliers, abrite la ferme en carré, en bordure de la rue des Combattants à Oreye. Elle a la forme d’un quadrilatère en brique et pierre calcaire, couvert de tuiles.

Au Nord, un pont enjambe un fossé comblé, reste de douves qui entouraient la ferme, et conduit à un haut bâtiment de deux niveaux, qui cumule les fonctions de logis et de porche d’entrée. Une porte à deux vantaux, couronnée par un arc surbaissé et un linteau droit sur piédroits chaînés, s’ouvre sur un passage charretier qui mène à la cour. Cette porte était protégée par un pont-levis; de larges encoches, permettant le passage des chaînes ou des cordes, sont encore visibles aux angles supérieurs de la feuillure. Trois fenêtres, sans doute agrandies au 18ème siècle, à linteaux en tas de charge et montants harpés, éclairent la partie habitable du porche, accessible par une porte chaînée depuis le passage charretier. Deux jours carrés, surmontés d’arcquettes de décharge, à gauche de la porte, indiquent l’aspect initial des percements. Des ouvertures du même type persistent sur l’un des pignons. Côté cour, un décrochement marque le côté gauche du bâtiment, qui présente également des fenêtres aux linteaux en tas de charge.

Un bâtiment, d’un niveau inférieur, et servant actuellement de logis, jouxte l’entrée. Défiguré par des percements récents effectués de façon irrégulière, il présente les traces de petites fenêtres rectangulaires sous arcquettes de décharge et d’une porte. De nombreux aménagements intérieurs ont, heureusement, été épargnés:

  • une belle cheminée de pierre, dont les montants portent l’inscription « ANNO 1619″;
  • dans l’une des vastes caves jaillit une source d’eau potable;
  • une lucarne en bâtière, qui possède encore son système de poulie, permet d’accéder au grenier.

La grange en double large occupe le côté Ouest du quadrilatère. Son imbrication maladroite dans les autres bâtiments et les traces de fenêtres, dans le pignon du logis contre lequel elle s’appuie, indiquent une construction plus récente.

Dans l’aile Sud, les étables sont couvertes de plafonds plats en bois et de fenils.

A l’Est, il ne subsiste qu’un chartil, couvert d’une bâtière à coyau et croupette, prolongé, côté cour, par un appentis sur piliers de ciment.

Au centre de la cour, le fumier est devenu pelouse.

La ferme en carré d’Oreye

Dans la première moitié du 17ème siècle, le Seigneur d’Oreye, le Baron DE BOCHOLT Godefroid, fait construire (ou reconstruire ?) une ferme en carré à Oreye (à l’endroit qui sera bien plus tard la rue des Combattants).

Deux pierres en témoignent:

  • La première porte la date de 1619 et les armes de la famille DE BOCHOLT – GROESBEECK. Elle surmonte le porche d’entrée.
  • La deuxième (copie de l’originale qui a été transportée à l’hôtel DE BOCHOLT à Liège) est visible sous le même porche et porte l’inscription « GODft DE BOCHOLT : ORAY : GRAN ville … GRAND MAIEUR DE LIEGE … DAME MARGARITA DE GROISBECQ : SON : EPOUSE … »

Les colombophiles de L’Epervier (Waremme)

Vers 2003 (?), il y a une trentaine de colombophiles inscrits à la société colombophile de Waremme « L’Epervier ».

Manifestation contre le retour du Roi (Waremme)

En octobre 1945, le mot « abdication » est inscrit en grosses lettres sur la façade droite de la gare de Waremme. Il s’adresse au Roi LEOPOLD III, en raison de son attitude durant la Deuxième Guerre Mondiale et son remariage avec BAELS Liliane.