Après 1925, la famille LEJEUNE, qui exploitait le moulin et la minoterie d’Oleye, transfère ses installations en bordure de Meuse, entre Liège et Visé.
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Investissement à la raffinerie (Oreye)
En 1945, la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye se lance dans la modernisation de ses installations. L’ancienne centrale électrique de est remplacée par un turboalternateur de 2500 KW.
Incendie de l’entreprise Janssen (Oreye)
En 1960, un incendie ravage les installations de l’atelier de mousse de JANSSEN Albert, situé près de la gare du vicinal à Oreye. L’entreprise, qui a compté jusque 20 ouvrières, est complètement détruite et ne sera pas reconstruite.
Reprise de la Sucrerie de Waremme
En 1875, la « grande crise » conduit à la liquidation de la Société d’Agriculture Industrielle de Waremme et à la reprise de l’ensemble de ses installations par l’Usine Centrale de Wanze.
L’entreprise Moës déménage (Waremme)
En 1913, la société « MOES » s’installe rue de Huy, à Waremme. Elle utilise régulièrement les installations de la gare pour l’expédition de petites locomotives de mine et de moteurs diesel, dont la réputation est internationale.
Des betteraves pour la raffinerie (Waremme)
En 1954, 21.000 tonnes de betteraves sont acheminées aux installations de la Raffinerie Tirlemontoise, à la gare de Waremme.
La Raffinerie Tirlemontoise à la gare (Waremme)
Le 3 octobre 1928, la Raffinerie Tirlemontoise reprend les installations de la Sucrerie Centrale de Wanze, à la gare de Waremme.
L’écrémeuse Mélotte (Remicourt)
En 1888, avec des moyens rudimentaires, MELOTTE Jules, de Remicourt, met au point une écrémeuse à force centrifuge, dont le bol est suspendu à un axe mobile (contrairement aux machines existantes, dont le bol est soutenu).
Pour cette innovation, il recevra le Prix du Progrès, au Grand Concours International de Bruxelles. Elle va provoquer une révolution dans les milieux agricoles et entraîner une extension considérable des installations de l’entreprise.
Elle se compose d’un bâti en fonte portant le mécanisme construit en acier et en bronze.
Sur la face supérieure, se trouve le bac-réservoir en fer blanc, dans lequel on verse le lait immédiatement après la traite. Le lait fraîchement trait a une température de 30 à 35 degrés, température la plus favorable pour la séparation de la crème et du lait maigre.
En ouvrant le robinet de ce réservoir, le lait passe dans le régulateur d’alimentation, d’où il s’écoule dans le bol ou turbine.
La vitesse nécessaire est obtenue en faisant 40 tours de manivelle par minute. Le lait entier, arrivé dans le bol, est soumis à l’action de la force centrifuge. Il se sépare immédiatement en deux parties: la crème et le lait maigre.
Aussitôt le réservoir vidé, la séparation complète de la crème et du lait est réalisée. Il ne reste plus alors qu’à laver le bassin et la turbine.
La boulangerie « Mathot » (Waremme)
Vers 1938, la boulangerie des soeurs MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine, située au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme, est renommée pour ses pralines et ses éclairs au chocolat.
Les produits qu’elles vendent sont fabriqués dans les installations de leur beau-frère, situées à la rue du Pont. Pour assurer la fraîcheur de la pâtisserie, il approvisionne la boutique plusieurs fois par jour.
Le Tennis Club du Vieux Moulin (Waremme)
En 1954, 16 personnes de Waremme et des environs décident de recréer un club de tennis sur le site des anciennes installations du Tennis Club Waremmien. Le 21 juillet 1954, le Tennis Club du Vieux Moulin inaugure ses installations à la rue du Moulin.
Le premier président est MOËS Paul.
