Des petites liégeoises hébergées à waremme

Le 31 juillet 1942, 35 fillettes et 3 monitrices de la région liégeoise, arrivent à Waremme pendant la soirée. Elles sont hébergées au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix. Des Waremmiens vont chercher leur ravitaillement chez les fermiers des environs.

Soeur Marie-Laure, institutrice (Waremme)

En 1934, Sœur MARIE-LAURE est institutrice en classe de deuxième gardienne à l’Institut des Filles de la Croix à Waremme. Elle a un visage au teint rose, toujours souriant.

Madame Catherine, Servante (Waremme)

En 1933, Madame Catherine ( ?) est servante au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix. C’est une petite femme rougeaude au dos courbé. Elle apporte un bol de soupe aux fèves, aux élèves de gardienne.

Travaux à l’Institut des Filles de la Croix (Waremme)

pensionnat des filles de la croix

pensionnat des filles de la croix

Le 12 avril 1930, des travaux d’agrandissement sont entrepris au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix, de Waremme:

  • la salle est agrandie,
  • un nouveau vestiaire est réalisé,
  • quelques pièces sont aménagées pour l’étude de la musique et de la dactylographie.

Fréquentation de l’école ménagère agricole (Waremme)

En 1927, il y a 59 élèves à l’Ecole Ménagère Agricole de l’Institut des Filles de la Croix à Waremme.

Les indigents trouvent du réconfort auprès des Soeurs de Waremme

Après 1919, les Sœurs de l’Institut des Filles de la Croix à Waremme distribuent de la soupe aux indigents.

On embauche plus de femmes en 1918 (Waremme)

En 1918, la paix revenue, des cours de dactylographie et de sténographie sont organisés à l’institut des Filles de la Croix à Waremme. Le nombre de soldats morts au champ d’honneur, pousse à l’embauche de demoiselles pour les nouveaux travaux de bureau.

L’Institut des Filles de la Croix (Waremme)

En 1918, une Communauté des Filles de la Sagesse, évacuée de France, reçoit l’hospitalité durant plusieurs semaines à l’Institut des Filles de la Croix à Waremme.

Des prisonniers de guerre libérés, soignés à l’Institut des Filles de la Croix de Waremme

A partir du 11 novembre 1918 et les jours qui suivent, des prisonniers de guerre libérés, italiens et anglais, sont hospitalisés par la Croix-Rouge à l’Institut des Filles de la Croix à Waremme.

Des réfugiés à l’Institut des Filles de la Croix (Waremme)

En 1917, bon nombre de réfugiés français trouvent asile dans les classes et les dortoirs de l’Institut des Filles de la Croix à Waremme.