Marguerite Derenne, retraitée (Verlaine)

Le 18 novembre 1976, l’institutrice communale de Verlaine, DERENNE Marguerite, épouse CAPRASSE, donne sa démission pour sa mise à la pension.

Alix Bustin nommée définitivement (Verlaine)

Le 22 août 1957, le conseil communal de Verlaine nomme BUSTIN Alix, épouse FRESON, institutrice communale à titre définitif. En outre, vu l’augmentation de la population scolaire à l’école communale des filles, il y nomme JACQUES Denise à titre provisoire.

Denise Jacques nommée définitivement (Verlaine)

Le 25 mars 1959, le conseil communal de Verlaine nomme JACQUES Denise, épouse BROSE, institutrice communale à titre définitif, pour la 2ème classe de l’école communale des filles.

L’école Pergay déménage (Waremme)

Vers 1853 (?), l’école et le pensionnat pour jeunes filles des sœurs PERGAY Valériane et Sophronie quitte les locaux de l’école communale pour permettre à l’Ecole Moyenne de l’Etat de se développer. Elles louent alors une maison rue de la Station (qui deviendra plus tard avenue Reine Astrid), pour s’y installer. En compensation, le Conseil Communal de Waremme leur accorde un subside de 700 francs; l’une des sœurs est nommée institutrice communale et est rétribuée comme telle.

Alphonsine Charlier, institutrice (Lamine)

Durant la Première Guerre Mondiale, CHARLIER Alphonsine, épouse PETITJEAN, est institutrice communale à Lamine.

Une école pour filles est crée par les soeurs Pergay (Waremme)

En 1803, en raison de la fermeture du Couvent des Sépulchrines, sous le Régime français, le Conseil Communal se préoccupe également beaucoup de doter Waremme d’un nouvel établissement d’enseignement réservé aux jeunes filles. Ses efforts aboutissent avec la création d’une école dirigée par les demoiselles PERGAY Valériane et PERGAY Sophronie.

Le Conseil Communal leur accorde un subside annuel de 700 francs. L’accord leur impose d’adjoindre à leur pensionnat une école primaire pour filles. L’une des sœurs sera, par la suit, nommée institutrice communale et sera rétribuée comme telle. (Sur le plan Popp, elles sont propriétaires à la rue du Pont et sont qualifiées de « rentières ».)