En (?), MELOTTE Jules est nommé échevin de l’instruction publique à Remicourt.
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Guillaume Mélotte, conseiller et échevin (Remicourt)
En 1856, MELOTTE Guillaume est élu conseiller communal à Remicourt. Il est immédiatement nommé échevin de l’Instruction Publique. Il occupera cette fonction jusqu’à son décès, en 1878, à l’âge de 52 ans.
Le collège échevinal de Waremme
En octobre 1979, le collège échevinal de Waremme est composé de:
- ETIENNE Jules, échevin de l’Instruction publique, de la culture et des cultes
- HUMBLET Léon
- LABY Henri
- HANOT Rita, épouse LEDURE
Célestin Bricteux, échevin (Waremme)
En 1934, l’architecte BRICTEUX Célestin est échevin de l’Instruction Publique, à Waremme.
Le comité organisateur de l’exposition (Waremme)
En octobre 1979, le comité organisateur de l’exposition « Trésors d’art et d’histoire de Waremme et de sa région » est composé de:
- BARBASON-BIHET D., collaborateur scientifique au Ministère de la Communauté française
- BRULET Raymond, chargé de recherches du Fonds national de Recherche scientifique (FNRS)
- DAEMEN François, président de la société d’Archéologie et d’Histoire de Waremme et de Hesbaye
- ETIENNE Jules, échevin de l’Instruction Publique, de la Culture et des Cultes de la ville de Waremme
- JOACHIM Maurice, président du Comité des Expositions de la ville de Waremme
- MARCHAL A., premier Attaché au Ministère de la Communauté française
Les Sépulchrines de Waremme
Vers 1750, il y a 18 sœurs au Couvent des Sépulchrines de Waremme. Elles se donnent à l’instruction publique. Leur pensionnat est très fréquenté.
L’Instruction Publique (Belgique)
Le 25 novembre 1878, le Ministère de l’Instruction Publique est créé en Belgique.
Jules Etienne, échevin (Waremme)
En 1981, ETIENNE Jules est échevin de l’Instruction Publique et de la Culture à Waremme.
Etude sur l’instruction (Waremme – Hesbaye)
En 1906, WAUTERS Joseph consacre une étude à l’instruction publique en Hesbaye.
Il déclare que l’instruction publique que l’instruction publique n’est pas suffisamment développée dans le canton de Waremme. Il dénonce le désinvestissement des autorités communales en la matière, laissant le champs libre aux « cléricaux ».
S’il milite pour des écoles gardiennes, susceptibles de soulager les mères qui voudraient travailler, il craint surtout que l’école libre n’agisse comme un « foyer de propagande réactionnaire ». Or, dans le canton de Waremme, il n’y a qu’une seule école primaire pour garçons et elle est catholique.
Pour lui, le vrai problème réside dans le taux de fréquentation scolaire en milieu rural: » … Si les inscriptions scolaires sont nombreuses, les nécessités des travaux des champs les rendent illusoires … A l’heure actuelle, il faut des enfants pour décolleter les betteraves; il en faut encore à l’époque du démarrage des betteraves et de l’arrachage des pommes de terre … »
La commune envisage de reconstruire le couvent des Sépulchrines (Waremme)
En 1816, la commune de Waremme envisage de reconstruire le pensionnat du couvent des Sépulchrines, qui a été supprimé à la Révolution Française. Dans ce but, le maire de Waremme adresse une lettre au sous-intendant de l’arrondissement de Liège, pour lui rappeler l’audience que ce pensionnat avait avant sa fermeture : « Les sœurs se donnaient à l’instruction publique. Leur pensionnat était très suivi et toujours fréquenté, non seulement par les demoiselles de Waremme et des communes avoisinantes, mais aussi par les demoiselles du pays flamand, jusqu’à cinq, six ou huit lieues de distance. » Ce projet ne sera cependant pas concrétisé.