Le 18 juillet 1914, le ligne téléphonique de Remicourt est interrompue.
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Action de la Compagnie 419 (Berloz)
Le 4 juillet 1944, des Résistants de la « Compagnie 419 », dirigée par LEBURTON Edmond, dit « Jean-Pierre », font dérailler un convoi de chemin de fer à hauteur de Berloz. Le trafic vers Bruxelles est interrompu pour un certain temps.
Déraillement à Momalle
Le 22 juillet 1944, les Résistants BRANKART Joseph et DENGIS Albert font dérailler un train sur la ligne de chemin de fer, au « Bois Lahaut », à Momalle. La circulation ferroviaire est interrompue pendant 48 heures.
Un projet de sabotage avorté (Waremme)
Le 30 août 1944, suite à l’échec du bombardement du 28 août 1944, qui visait à interrompre la circulation des trains entre Bruxelles et Liège, des membres du Font de l’Indépendance (F.I.) décide de couper cette ligne en provoquant le déraillement d’un convoi. Ces Résistants sont DERYDT Alfred et GAUNE François.
Ils portent leur choix sur le « MITROPA » (contraction de « mittel » et de « europa ». C’est un train international qui traverse l’Europe Centrale). Ce convoi transporte presque exclusivement des militaires allemands et des personnes travaillant pour des organisations inféodées à la Wehrmacht.
Ils ont décidés de déboulonner les tire-fonds qui immobilisent les rails, à un endroit situé entre le passage à niveau de la râperie et le petit pont du chemin de fer vicinal qui enjambe la ligne 36. Pour éviter d’être surpris, les deux saboteurs demandent à LOYAERTS Frans de faire le guet. Sa maison est exactement en face de la ligne.
Vers 21h30, après la tombée de la nuit, les deux Résistants passent par la cour de LOYAERTS Frans et s’avancent vers les voies. Ils enlèvent une dizaine de tire-fonds avec une clé à molette, ils démontent des éclisses et essayent de désaligner les rails. Le décalage n’est pas très important, mais ils ne peuvent s’attarder, sous peine de se faire remarquer.
Vers 23h30, le train approche, arrive à l’endroit où les voies ont été sabotées et … passe sans problème.
Les saboteurs ne comprennent pas. Ils doivent maintenant remettre les voies en état, pour ne pas qu’un autre convoi, chargé de civils belges, déraille.
Hubert Krains interrompt ses études (Les Waleffes – Waremme)
En 1878, à l’issue de ses études moyennes, KRAINS Hubert, natif de Les Waleffes, quitte le Collège Saint-Louis de Waremme, afin de seconder son père dans les travaux des champs. La pauvreté de ses parents ne lui permet pas de poursuivre ses études.
L’hiver est long et froid (Waremme – Liège)
En 1709, il gèle à des températures très basses, d’octobre à mars, sur toute la région liégeoise (sur toute l’Europe !), au point d’interrompre la navigation sur la Meuse et donc l’importation de vivres.
Les cours reprennent à l’Ecole Moyenne de l’Etat (Waremme)
Le 15 octobre 1944, les cours reprennent normalement à l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme (qui deviendra l’Athénée Royal), mais ils devront à nouveau s’interrompre à Noël.