Le 8 janvier 1935, HOUBRECHTS Alphonse, BORSU Zénon et STASSE Henri introduisent une demande d’autorisation d’établissement d’une briqueterie temporaire à Jeneffe.
Briqueterie temporaire à Jeneffe
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Briqueterie temporaire à Jeneffe
Le 5 octobre 1929, la veuve de JAYMAERT Xavier introduit une demande d’autorisation d’établissement d’une briqueterie temporaire à Jeneffe.
Briqueterie temporaire à Jeneffe
Le 31 décembre 1927, NOVILLE Joseph introduit une demande d’autorisation d’établissement d’une briqueterie temporaire rue Chantraine à Jeneffe.
Briqueterie temporaire à Jeneffe
Le 18 mars 1926, BEX Nestor et MARECHAL Jules introduisent une demande d’autorisation d’établissement d’une briqueterie temporaire rue Lavaulx à Jeneffe.
Briqueterie temporaire à Jeneffe
Le 5 juin 1911, Messieurs MARECHAL et DESSART introduisent une demande d’autorisation d’établissement d’une briqueterie temporaire rue vers Momalle à Jeneffe.
Briqueterie temporaire à Jeneffe
Le 15 juin 1903, JERÔME Auguste introduit une demande d’autorisation d’établissement d’une briqueterie temporaire rue Lahaut à Jeneffe.
Dévotion à Sainte-Philomène (Hodeige)
En 1839, le curé de Hodeige, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, introduit dans sa paroisse la dévotion à Sainte-Philomène.
Ayant appris que la paroisse de Guigoven possède des reliques de la sainte martyre, il s’adresse au curé afin d’obtenir une parcelle de ce trésor. Non seulement, il obtiendra les reliques tant désirées avec leur authentiques, mais encore une belle statue en bois de la sainte, faite par le sculpteur anversois bien connu, DE CUYPER.
En effet, lorsque le curé de Guigoven, l’abbé LAMBRECHTS, grand serviteur de Sainte-Philomène, a commandé pour son église une statue de la sainte, par suite d’un malentendu, le sculpteur en a réalisé deux au lieu d’une. C’est ainsi que Hodeige pourra être gratifiée d’un des deux exemplaires.
Culture de la betterave (Hesbaye)
Avant 1870, la culture de la betterave est à introduite à grande échelle dans les assolements, en Hesbaye.
Investissement chez « Naveau et Ledocte » (Hollogne-sur-Geer)
En septembre 1870, la société « NAVEAU et LEDOCTE » introduit une demande au conseil communal de Hollogne-sur-Geer pour l’installation dans son usine de sucre:
- d’une machine de 12 chevaux destinée à activer la pompe à vide d’un appareil à évaporer;
- d’une machine de 3 chevaux destinée à donner le mouvement d’une pompe d’alimentation du générateur.
Il y aura une sucrerie à Hollogne-sur-Geer
Le 2 janvier 1865, le conseil communal de Hollogne-sur-Geer examine la demande d’autorisation de construire une fabrique de sucre de betteraves animée par deux petites machines à vapeur, introduite par la société « NAVEAU et LEDOCTE ».
L’autorisation sera accordée.