Justin Bourguignon, invalide (Celles)

En 1965, BOURGUIGNON Justin est invalide. Il habite rue de Terwagne à Celles. Il est secrétaire de la section de Celles de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G.).

Albert Destokay, invalide (Borlez)

En 1965, DESTOKAY Albert est invalide. Il habite au n° 36 de la rue Vandervelde à Borlez. Il est membre de la section de Borlez de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G.).

Joseph Goffin, invalide (Waremme – Berloz)

En 1965, GOFFIN Joseph est invalide, pensionné. Il habite au n° 14 de la rue de la Haute Wegge à Waremme. Il est membre de la section de Berloz de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G.).

Gilles Brancotte, blessé (Pousset)

Le 28 novembre 1809, BRANCOTTE Gilles-Joseph, de Pousset, fusilier au 26ème Régiment d’Infanterie de Ligne (?,) est blessé. Il restera invalide.

Louis Tielens, nommé curé (Bergilers)

En 1939, l’abbé TIELENS Louis est nommé curé à Bergilers. Il est natif de Neroeteren, volontaire de 1914 – 1918, invalide.

Naissance de Léon Maréchal (Ouffet – Oreye)

Le 17 avril 1921, MARECHAL Léon voit le jour à Ouffet. Il épousera DEMEURE Gilberte. Il sera secrétaire du club de football « Oreye Union », pendant 25 ans. Il sera secrétaire communal d’Oreye. Il sera Grand Invalide de la Deuxième Guerre Mondiale.

Portrait d’Eli Fraipont (Waremme)

Le 5 février 1892, FRAIPONT Eli voit le jour à Waremme. Il est milicien dans la classe 1912. Il fait tout son service militaire au Fort de Loncin, comme canonnier de 1ère classe. Il est doté d’une robuste constitution physique.

Le 29 juillet 1914, il rejoint son poste au Fort, avec les hommes de sa classe. Il participe aux travaux de mise en états des abords de l’ouvrage et du dégagement du champ de tir. Bien noté par ses chefs, il est désigné téléphoniste au bureau de tir, en liaison avec les observatoires extérieurs, sous les ordres directs du lieutenant MODART, commandant de l’artillerie du Fort.

Comme tous ses camarades, il va vivre l’agonie du Fort sous les bombardements de plus en plus violents de l’ennemi. A son poste de combat près de la poudrière, il est victime de l’explosion. Etendu au milieu des décombres, il survit au choc et aux flammes. Mais il est gravement brûlé.

Il se marie en 1919 et aura 3 enfants.

Il exerce la profession d’imprimeur – éditeur.

Grand brûlé, il connait de longs séjours en hôpital. Il restera grand invalide et mutilé pour le reste de ses jours.

Il décède à Waremme le 6 mai 1966, à l’âge de 74 ans. Son épouse, exemple de dévouement et de courage, lui survivra. Elle s’éteindra à Waremme en 1988, à l’âge de 93 ans.