En (?), DE DURAS Otton (petit-fils de DE LOOZ Otton et de DE DURAS Ode ?) envahit le village de Villers-le-Peuplier et emmène le mayeur prisonnier dans sa villa de Waremme (de Corswarem ?).
En (?), la famille DE CORSWAREM récupère, en tout ou en partie, les biens que DE CORSWAREM Guillaume-Joseph a abandonnés lors de sa fuite devant l’invasion française.
En (?), (après le 26 juin 1794), suite à l’invasion française qui suit la Bataille de Fleurus, DE CORSWAREM Guillaume-Joseph est inscrit sur la liste des suspects et doit prendre le chemin de l’exil, en compagnie de son épouse, de sa fille, DE CORSWAREM Clémentine, et de ses fils DE CORSWAREM Charles et DE CORSWAREM Arnold. Ils se rendent en Prusse.
Au IXème siècle, les Normands envahissent la région de Waremme (?).
En (?), en conséquence de la décadence de l’Empire Romain, la Tongrie sera envahie par les Francs, les Vandales et les Huns.
En mai (?) 1940, devant l’invasion allemande, des habitants de Remicourt prennent la route pour la France, notamment:
Le 1er septembre 1939, l’Allemagne attaque la Pologne.
En 1603, la Hesbaye souffre d’une stérilité presque générale de « tous les fruits estivaux », en raison d’une invasion de mouchettes et d’autres vermines. A Thys, les récoltes ne sont même pas recueillies.
Le samedi 11 novembre 1939, la plupart des sucreries belges arrêtent la réception des betteraves. On craint une invasion allemande imminente. Le 18 novembre, l’alerte passée (!), les sucreries reprennent leurs activités.
Vers 1100 (?), dans la nuit de la Saint-Lambert, l’avoué de l’abbaye de Saint-Trond, DE DURAS Gislebert, envahit la maison abbatiale d’Oreye avec 20 écuyers.