Barthélemi Dispa fait un AVC (Verlaine)

Le 22 février 1928, le vieux curé pensionné de Verlaine, l’abbé DISPA Barthélemi, est frappé de congestion partielle (thrombose ?). En l’absence de médecin, l’entourage lui donne les premiers soins. La crise passée, il doit garder le lit plusieurs jours et la chambre plusieurs semaines. Il en gardera une paralysie partielle d’une jambe en l’engourdissement d’un bras.

Henri Louwette, blessé (Oreye)

Le (?) (1914 ?), le soldat LOUWETTE Henri, d’Oreye, est gravement blessé à la jambe gauche, dans les tranchées de l’Yser. Atteint de la gangrène, il devra être amputé.

La jument de Michel Depaive (Crisnée)

En 1795, la communauté assemblée de Crisnée verse 80 florins brabant à DEPAIVE Michel pour sa jument, qui a eu la jambe cassée pendant qu’elle était au service des troupes et qui en est morte.

Naissance d’Albert Leduc (Crisnée)

Le 28 avril 1917, LEDUC Albert voit le jour à Crisnée. Ses parents sont LEDUC Joseph et MARNEFFE Joséphine. Il combattra durant la Deuxième Guerre Mondiale (Campagne des Dix-Huit jours). Il sera brigadier au 3ème Régiment d’Artillerie. Il sera blessé à la jambe par un éclat d’obus, dans les combats sur la Lys.

Naissance de Marcel Pinte (Oreye)

Le 8 avril (19 mars ?) 1908, PINTE Marcel voit le jour à Oreye. Ses parents sont PINTE Lambert et LEBURTON Valentine. Il sera horloger à Oreye. Il mourra d’une infection de la jambe à l’âge de 21 ans.

Louis-Joseph Hennay, blessé (Oreye)

Le 20 août 1822, le Maréchal des Logis de la brigade d’Oreye, HENNAY Louis-Joseph, chute de son cheval, lors d’une tournée dans la campagne de Thys. Il se démet la jambe. Il est également foulé plusieurs fois aux pieds par sa monture. Ses blessures ne lui permettent pas de reprendre son service. Il sollicitera du Souverain, un emploi de percepteur des contributions.

Jean Leunus, blessé (Oreye – La Panne)

Durant la Première Guerre Mondiale, le soldat d’Oreye (dans la cavalerie), LEUNUS Jean, est gravement blessé à la jambe par un éclat d’obus. Il est transféré à l’hôpital « de l’Océan », à La Panne. Il y reçoit la visite de la Reine ELISABETH.

Le brigadier Dupont au Collège Saint-Louis (Waremme – France)

Le 13 mai 1940, le brigadier français DUPONT, blessé dans les combats de Jauche, est transporté à l’antenne médicale installée au collège Saint-Louis, avenue Reine Astrid, à Waremme. Il devra être amputé d’une jambe.

La clinique Notre-Dame (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, des blessés sont à la clinique Notre-Dame:

  • HEYNE Léon, cafetier, il devra subir une intervention chirurgicale à la jambe. Il sera hospitalisé jusqu’au 16 septembre 1944. Il restera infirme jusqu’à la fin de sa vie.
  • LANGE Félix, avocat, il est gravement blessé à un oeil.
  • GLADE Joseph, dit « Paille », il a une multitude d’éclats incrustés dans le cuir chevelu.Il sera hospitalisé jusqu’au 16 septembre 1944. Il sera handicapé jusqu’à la fin de sa vie.

Jeanne Stouvenakers, sauvée (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, le pharmacien SAINT-GEORGES Joseph et son frère SAINT-GEORGES Lucien s’introduisent sous les décombres par l’ouverture qui a permis à HINNISDAELS Yvonne de sortir. Ils ont entendu une voix. Ils arrivent près de STOUVENAKERS Jeanne. Ses jambes sont bloquées par une grosse poutre en béton. Il l’a brise avec une masse. En raison de la corpulence de STOUVENAKERS Jeanne, il n’est pas possible de la faire sortir par l’ouverture par laquelle ses sauveteurs sont entrés. Il faudra la sortir par la cave voisine. Elle a une jambe cassée.