La jument de Michel Depaive (Crisnée)

En 1795, la communauté assemblée de Crisnée verse 80 florins brabant à DEPAIVE Michel pour sa jument, qui a eu la jambe cassée pendant qu’elle était au service des troupes et qui en est morte.

Naissance d’Albert Leduc (Crisnée)

Le 28 avril 1917, LEDUC Albert voit le jour à Crisnée. Ses parents sont LEDUC Joseph et MARNEFFE Joséphine. Il combattra durant la Deuxième Guerre Mondiale (Campagne des Dix-Huit jours). Il sera brigadier au 3ème Régiment d’Artillerie. Il sera blessé à la jambe par un éclat d’obus, dans les combats sur la Lys.

Naissance de Marcel Pinte (Oreye)

Le 8 avril (19 mars ?) 1908, PINTE Marcel voit le jour à Oreye. Ses parents sont PINTE Lambert et LEBURTON Valentine. Il sera horloger à Oreye. Il mourra d’une infection de la jambe à l’âge de 21 ans.

Louis-Joseph Hennay, blessé (Oreye)

Le 20 août 1822, le Maréchal des Logis de la brigade d’Oreye, HENNAY Louis-Joseph, chute de son cheval, lors d’une tournée dans la campagne de Thys. Il se démet la jambe. Il est également foulé plusieurs fois aux pieds par sa monture. Ses blessures ne lui permettent pas de reprendre son service. Il sollicitera du Souverain, un emploi de percepteur des contributions.

Jean Leunus, blessé (Oreye – La Panne)

Durant la Première Guerre Mondiale, le soldat d’Oreye (dans la cavalerie), LEUNUS Jean, est gravement blessé à la jambe par un éclat d’obus. Il est transféré à l’hôpital « de l’Océan », à La Panne. Il y reçoit la visite de la Reine ELISABETH.

Le brigadier Dupont au Collège Saint-Louis (Waremme – France)

Le 13 mai 1940, le brigadier français DUPONT, blessé dans les combats de Jauche, est transporté à l’antenne médicale installée au collège Saint-Louis, avenue Reine Astrid, à Waremme. Il devra être amputé d’une jambe.

La clinique Notre-Dame (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, des blessés sont à la clinique Notre-Dame:

  • HEYNE Léon, cafetier, il devra subir une intervention chirurgicale à la jambe. Il sera hospitalisé jusqu’au 16 septembre 1944. Il restera infirme jusqu’à la fin de sa vie.
  • LANGE Félix, avocat, il est gravement blessé à un oeil.
  • GLADE Joseph, dit « Paille », il a une multitude d’éclats incrustés dans le cuir chevelu.Il sera hospitalisé jusqu’au 16 septembre 1944. Il sera handicapé jusqu’à la fin de sa vie.

Jeanne Stouvenakers, sauvée (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, le pharmacien SAINT-GEORGES Joseph et son frère SAINT-GEORGES Lucien s’introduisent sous les décombres par l’ouverture qui a permis à HINNISDAELS Yvonne de sortir. Ils ont entendu une voix. Ils arrivent près de STOUVENAKERS Jeanne. Ses jambes sont bloquées par une grosse poutre en béton. Il l’a brise avec une masse. En raison de la corpulence de STOUVENAKERS Jeanne, il n’est pas possible de la faire sortir par l’ouverture par laquelle ses sauveteurs sont entrés. Il faudra la sortir par la cave voisine. Elle a une jambe cassée.

Le Café « Aux Sports » est dévasté (Waremme)

Le 28 août 1944, une bombe explose devant le Café « Aux Sports » rue Joseph Wauters, à Waremme. Des occupants sont touchés:

  • BIERNA Henri a été atteint par une volée d’éclats au niveau de la taille et est décédé instantanément.
  • BRASSINE Albert, qui s’était réfugié sous la banquette, est indemne.
  • DUBOIS Paul, le dentiste est blessé à la jambe. Son visage est criblé d’éclats de verre. Ses vêtements sont déchirés et couverts de sang. (Il était dans la cave).
  • EVRARD Paul a été propulsé dans le mobilier du café. Il a le crâne ouvert sur plusieurs centimètres. Il est coincé sous une grosse poutre.
  • FARCY Alice a perdu connaissance au moment de l’explosion (elle restera inconsciente pendant plusieurs minutes). Elle est presque nue, son chemisier a complètement disparu et sa jupe est en lambeaux. Elle est brûlée à la cuisse. Elle éprouve des difficultés à ouvrir un de ses yeux. BIERNA Henri est à moitié couché sur elle.
  • GLADE Joseph, dit « Paille », a également été projeté sous la banquette. Il a perdu connaissance. Il est recouvert par un amas de débris.
  • HEYNE Léon a été projeté dans le petit couloir qui mène aux toilettes. Il a reçu un éclat dans la jambe et est couvert d’ecchymoses sur tout le corps.
  • JAVAUX Martien a une profonde blessure au menton. De plus, une brique l’a violemment heurté à la clavicule.
  • LANGE Félix est complètement défiguré par les éclats de verre. Son oeil gauche saigne abondamment.
  • LECLOUX Joseph a plongé sous la banquette. Ses vêtements ont été arrachés, il ne lui reste que des lambeaux de caleçon. Il a des ecchymoses sur tout le corps.
  • MASSILLON Emile s’est réfugié dans le couloir menant aux cuisines. Il a été frappé par de nombreux éclats de verre.
  • NOBEN Albert, par contre, a été projeté sur la banquette. Il est décédé.
  • PAQUES Henri a été projeté vers le fond du café. Son bras droit est gravement touché.
  • PIQUET Georges est recouvert de planches et de débris. Il est criblé d’éclats de verre, provenant de l’éclatement de la vitrine. Le sang inonde sa chemise. Son pantalon est déchiré de bas en haut. Ses lunettes ont disparu.
  • RAMQUET Jules a le visage criblé d’éclats de verre. Il saigne abondamment. (Il était dans la cave).
  • YANS Arthur a été foudroyé par plusieurs éclats à la tête et au dos. Il est décédé.

Attentat contre l’ancien directeur de la Laiterie (Waremme – Landen – Bruxelles)

Le 3 mars 1944, vers 20 heures, un attentat a lieu contre l’ancien directeur de la laiterie de Waremme Monsieur BAJARD. Il gagne le quai de la gare, pour s’embarquer vers Bruxelles, lorsque quatre coups de feu sont tirés. Un projectile l’atteint à la jambe. Il peut gagner Landen et s’y faire soigner.