Elie Vanval, boucher (Berloz)

En 1940, le boucher VANVAN Elie est installé au n° 21 B de la rue Joseph Wauters à Berloz. L’immeuble est composé d’une habitation, d’une boucherie, d’un garage et d’un jardin. Il a été construit il y a 9 ans.

Nouveau tracé du Geer (Waremme – Longchamps)

Le 21 février 1891, les travaux du nouveau tracé du Geer sont entrepris, du jardin de Walkin jusqu’au pont de Longchamps.

Location de bien à Hodeige

Le 20 janvier 1752, le marguillier de Hodeige, DIRICK Lambert, « rend à stuit » (donne en location ?), à BAYAR, licencié en médecine, pour un terme de 3 ans, une maison avec jardin et prairie, joignant au cimetière du village.

DIRICK Lambert se réserve une place pour habiter lui-même et qu’on appelle « la petite école« .

Le Jardin des Hirondelles (Waremme)

Le 28 juin 2020, l’ASBL « Waremme en Transition » (WET) lance un appel à la population pour l’aider à entretenir le « Jardin des Hirondelles », jardin communautaire, où la végétation a pris le dessus durant le confinement imposé par la lutte contre l’épidémie de coronavirus.

La ferme en carré de Momelette

Le 22 mars 1553, un bail mentionne un « courte maison, jardin, grange » attenant à l’église et au couvent du Val Notre-Dame à Momelette.

Vente de la ferme en carré de Ligney

En 1817, les descendants de la famille « TOMBEUR – DACOS – PERILLEUX » vendent, par licitation, la ferme en carré de Ligney  (à l’endroit qui s’appellera bien plus tard la rue de l’Ecole), à TOMBEUR Cosme, docteur chirurgien.

Elle comprend un beau corps de logis composé de 13 pièces, tant au rez-de-chaussée qu’au premier étage. Il est surmonté de vastes greniers et est construit sur plusieurs caves, dont une recèle un four. Le ferme comprend également deux vastes granges, trois écuries, deux étables à vaches, une bergerie, des étables, des remises, des fenils, un portail surmonté d’un colombier, une brasserie avec sa chaudière en cuivre et ses cuves, ainsi que d’autres bâtiments ruraux.

Ces bâtiments sont construits à neuf et à la moderne, en pierre de taille, briques et bois, couverts de chaume (à l’exception du portail couvert en ardoises).

Ils entourent une grande cour dans laquelle se trouve un puits.

Un jardin potager et une prairie attenante aux bâtiments et contenant avec l’assise de ceux-ci et la cour une superficie de 165 ares et 60 centiares.

La ferme en carré de Les Waleffes

En 1682, les Soeurs du Val Notre-Dame prennent possession de la « cense et cherwaige » de Hemrikette (Remikette), à la suite de difficultés financières éprouvées par leur propriétaire, DE REMIKETTE Anne.

Elles y entreprendront d’importants travaux. Elles feront élever une muraille pour séparer le jardin de l’abbesse et la cour des bâtiments appartenant à la famille DE HEMRICOURT.

La ferme en carré de Saives

Le 6 juin 1628, un acte est passé entre l’épouse de VAN DEN STEEN Lambert et GRIMONT Bastin. Cet acte stipule que ce dernier reçoit « à stuit », pour un terme de 9 ans, la maison, la grange, les étables, le jardin, les prés et terres de la Seigneurie de Saives.

Le preneur devra veiller à leur entretien et faire quelques corvées. Il aura la chambre près de la cuisine et réservera au Seigneur la partie centrale lorsqu’il voudra résider ou se divertir à Saives.

(Les biens de la Seigneurie de Saives seront exploités par la famille GRIMONT et ses descendants, pour le compte de la famille VAN DEN STEEN, jusqu’à la Révolution.)

Les tertres de Hesbaye

De nombreuses buttes en terre, herbeuses, souvent coiffées d’un épais taillis, de tailles de plus ou moins importantes, ont été édifiées en Hesbaye au cours des siècles, dans des buts les plus divers:

  • Monuments antiques recouvrant des tombes.
  • Mottes médiévales autrefois surmontées d’une tour.
  • Buttes de moulins.
  • Architectures de jardins.

Beaucoup de ces tertres portent à tort ou à raison la dénomination de « tombe ».

Les Récollets, Ordre Mendiant (Waremme)

Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme, qui appartiennent à la classe des Ordres Mendiants, ne peuvent posséder au plus que:

  • un local pour les abriter;
  • une bibliothèque pour les instruire;
  • un four;
  • une brasserie;
  • un moulin;
  • un jardin pour les nourrir et leur fournir une certaine somme de travail manuel;
  • une église pour leurs offices;
  • un cimetière pour y reposer.

En dehors de cela, rien ! Aucune terre, aucune rente, avec l’obligation de mendier leur pain quotidien, en se fiant à la Providence.

A Waremme, quand chaque semaine ou chaque mois, ils parcourent les rues, les pieds nus, avec besace au dos, demandant humblement leur pain, jamais cette besace ne revient vide.