Remise pour matériel et abri des ouvriers (Crisnée)

Le 18 septembre 1979, pour remiser et mettre à l’abri le matériel de voirie (tracteur, grue, camion, faucheuse, épandeur, …) et offrir aux ouvriers communaux un local où ils pourront travailler en cas de mauvais temps, le conseil communal de Crisnée décide de faire construire, à l’emplacement de l’ancien jardin de l’école du village, un garage dont les plans sont réalisés par l’architecte ZILLES Lambert de Kemexhe.

Le devis s’élève à 705.925 francs pour la maçonnerie et à 603.455 francs pour la couverture, la zinguerie et les portes métalliques.

La briqueterie de Ferdinand Lahaye (Crisnée)

Le 25 mai 1886, LAHAYE Ferdinand est autorisé à établir une briqueterie sur son jardin, sis à Crisnée, au lieu-dit « Le Village ». Les fours sont placés au centre de la propriété, à 20 mètres du chemin.

La maison de Louise Lombard (Crisnée)

Le 20 avril 1857, le Collège Communal de Crisnée autorise LOMBARD Louise à construire une maison sur son jardin sis au Chemin de Lowaige, joignant au dit chemin, à la propriété de DEMARET et à celle de la veuve de DENOMERENGE Louis.

L’écurie de Henri Brassinne (Crisnée)

Le 1er juillet 1856, le Collège Communal de Crisnée autorise BRASSINNE Henri à construire une écurie sur le jardin sis au Chemin de Kemexhe, près de sa maison, joignant à la propriété de DENOMERENGE Nicolas.

Henri-Joseph Rutten, instituteur (Crisnée)

Le 27 janvier 1871, RUTTEN Henri-Joseph, natif d’Oreye, est nommé instituteur en titre à Crisnée. Jusque-là, il était sous-instituteur. Il reçoit un traitement de 1000 francs par an; il habite dans l’immeuble de l’école et bénéficie d’un jardin de 10 ares. Il va cumuler cette fonction avec celle de receveur communal. Il exercera cette fonction d’instituteur jusqu’en 1891.

Accessoirement, il vendra des machines à coudre.

La chapelle Notre-Dame de Lourdes (Crisnée)

En 1898, la famille MARNEFFE-COX N., de retour d’un pèlerinage à Lourdes, fait élever au bout de son jardin, près du pont de Crisnée, une chapelle dédiée à Notre-Dame de Lourdes, en remerciement pour une guérison obtenue.

Le curé du village, l’abbé SIMONET Joseph, y célébrera les offices durant la construction de la nouvelle église. Un grand baraquement en planches, couvert, est ajouté à la chapelle pour mettre les fidèles à l’abri des intempéries.

Johan Happart, brasseur (Thys)

Le 27 avril 1652, le Seigneur de Thys donne la brasserie du village en location à HAPPART Johan, pour une durée de 9 ans, ainsi qu’une maison, une cour et un jardin.

Antoine le Bresseur (Thys)

En 1548, le Seigneur de Thys donne en location la brasserie, la maison et le jardin à LE BRESSEUR (le brasseur) Anthonne.

Les habitants veulent récupérer un jardin (Thys)

En 1665, la communauté de Thys réclame au curé du village, un petit jardin situé entre sa maison et la « Coutegarde », qu’elle lui a prêté.

Wathier de Beaurieu donne ses biens en location

Le 8 août 1626, DE BEAURIEU Wathier (Wathieu ?) donne, à bail perpétuel à l’abbaye Saint-Laurent de Liège:

  • Sa seigneurie et terres de Villereau (Vilrea), avec haute, basse et moyenne juridictions, biens seigneuriaux et féodaux, patrimoniaux, lui parvenus par succession de père et mère; biens qu’il détenait en fief de DE BERLO Jean, Seigneur de Hermalle.
  • Sa ferme à Boëlhe.

En contrepartie, l’abbaye Saint-Laurent lui sera redevable:

  • D’un fermage héréditaire de 7 muids d’épeautre par bonnier de jardin et pré (il y en a 22 bonniers).
  • D’un fermage de 3 muids 5 setiers d’épeautre pour chaque bonnier de terre arable (il y en a 92 bonniers).
  • L’abbaye paiera, en outre, les charges qui grèvent les biens.
  • L’abbaye donnera en cadeau à KERCKOFF Catherine, son épouse, une chaîne en or de 1.000 florins.