Il faut mettre les biens des sinistrés à l’abri (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, les jeunes de la section locale de l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (ARFEG) travaillent sous la surveillance de WEBER Jean-Baptiste.

Il décide d’entreposer les meubles et les objets de valeur, des immeubles touchés par les explosions, dans les locaux de l’ancienne centrale électrique. En raison de la tombée de la nuit, ce travail sera surtout effectué le lendemain.

En attendant, des gardes-champêtres et des gendarmes surveillent la zone sinistrée.

Des abris pour la population (Waremme)

En 1944, sous la direction de l’architecte GERBEHAYE, la brigade des pompiers de Waremme, sous la direction de WEBER Jean-Baptiste, montre aux habitants comment renforcer leur cave en l’étançonnant et comment construire des abris.

La centrale électrique, hors service (Waremme)

En 1936, la centrale électrique de Waremme est mise hors service. Son directeur était WEBER Jean-Baptiste, dit « Fieu ».

Jean-Baptiste Weber directeur (Waremme)

En 1935, WEBER Jean-Baptiste, dit « Fieu », est directeur de la centrale électrique de Waremme. Elle sera mise hors service l’année suivante.

Portrait de Jean-Baptiste Weber (Waremme)

Il commande les pompiers de Waremme depuis 1936. Avant cela, il exerçait les fonctions de directeur de la centrale électrique. C’est un petit homme trapu, aux cheveux ébouriffés. Il répond au sobriquet de « Fieu ».

Les pompiers de Waremme

En mai 1940, la brigade des pompiers de Waremme.

WEBER Jean-Baptiste est le commandant des pompiers de Waremme.

Ses hommes sont tous volontaires :

  • DELLEUZE Hubert (son adjoint, marchand de la rue Joseph Wauters)
  • ROUA Joseph, dit « Djède Libon » (menuisier et guérisseur à ses heures)
  • PARATE Joseph (opérateur du cinéma « Les Variétés »)
  • VANOPPEN Lucien (garagiste de la rue Sous-le-Château)
  • CLAES Albert (boucher)
  • TINLOT Alphonse (cordonnier et marchand de chaussures de la rue Hubert Stiernet)
  • BOTTIN Guillaume (concierge de l’Hôtel de Ville). C’est ce dernier qui est chargé de faire tinter le clocheton en cas de sinistre, pour alerter les autres pompiers.

La brigade est équipée d’un matériel vétuste, mais qui a fait ses preuves en maintes occasions. La grande échelle mobile et la pompe à bras sont les ustensiles les plus couramment utilisés.