Le 20 mars 1775, BOUX Nicolas-Joseph voit le jour et est baptisé à Waremme. Ses parents sont BOUX Jean-Gisbert et DANGLEUR Marie (qui se sont mariés à Waremme le 23 février 1773). Il sera homme de loi.
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Naissance de Gisbert-Balthazar Boux Waremme)
Le 5 octobre 1776, BOUX Gisbert-Balthazar voit le jour à Waremme. Il sera baptisé le 8 octobre. Ses parents sont BOUX Jean-Gisbert, « praetoris » de Waremme, et DANGLEUR Marie (qui se sont mariés à Waremme le 23 février 1773).
Jean-Gisbert Boux, Mayeur (Lantremange)
Le 11 juillet 1792, le Seigneur de Lantremange, DETHIER Nicolas-Toussaint, nomme BOUX Jean-Gisbert Mayeur de Lantremange. Il exerçait le fonction de greffier « ad interim » depuis quelques années.
Il s’agit du dernier acte seigneurial à Lantremange.
Mariage de Jean-Gisbert Boux et de Catherine Vannes (Waremme)
Le 6 mai 1645, BOUX Jean-Gisbert épouse VANNES Catherine.
Jean-Gisbert Boux change d’activité (Waremme)
Le 17 janvier 1797, le notaire BOUX Jean-Gisbert rédige son dernier acte à waremme.
Jean-Gisbert Boux, notaire (Waremme)
Le 1er janvier 1770, le notaire BOUX Jean-Gisbert rédige son premier acte à Waremme.
Jean-Gisbert Boux, échevin (Waremme – Lantremange)
Le 11 juillet 1792, TOUSSAINT Nicolas nomme le mayeur de Waremme BOUX Jean-Gisbert, échevin de Lantremange, où il exerçe depuis quelques années la fonction « ad interim ». Ce sera le dernier acte seigneurial à Lantremange.
La Cour de Justice de Waremme
Le 5 août 1781, la Cour de Justice de Waremme est composée de :
- FRERARD Gilles (bourgmestre-régent)
- BOUX Jean-Gisbert (bourgmestre-régent)
- PAULIN (conseiller)
- RENIER François (conseiller)
- BOUNYE Guillaume (conseiller)
- DE LISMONT Jean-Guillaume (conseiller)
- BOUX Senior (échevin)
- PIRARD (échevin)
- DANGLURE (échevin).
La Cour rend un avis dans lequel elle rappelle que les étrangers, manants et habitants non bourgeois ne peuvent bénéficier des droits et privilèges accordés aux bourgeois nés à Waremme ou admis comme tels par l’acquisition de prérogatives et privilèges liés aux commerces, métiers, chambres, droit de chasse, droit de pêche.
Elle décrète que toute personne s’arrogeant indûment ces droits et privilèges se verra infliger une amende de 3 florins d’or.
Elle constate que des personnes des villages circonvoisins chassent et usent de certains privilèges. Elle ordonne à l’officier de police de s’en saisir. Chaque bourgeois trouvant de semblables contrevenants doit en faire rapport, avec deux témoins, sous serment solennel.
La Cour de Justice de Waremme
Le 14 septembre 1778, la Cour de Justice de Waremme est composée de :
- PIETTE Guillaume (bourgmestre-régent)
- DE MAGNERY Guillaume (bourgmestre-régent)
- FRAIPONT Renier (conseiller)
- LEJEUNE (conseiller et chirurgien)
- GOFFIN George (conseiller)
- HENNIN Jean (conseiller)
- STAS Dieudonné (conseiller)
- BOUX Senior (échevin)
- FRERARD (échevin)
- STRACMAN (échevin)
- BOUX Jean-Gisbert (échevin)
Cette Cour rend un avis par lequel il constate qu’il y a divers changements dans les possesseurs de fonds, ce qui occasionne une grande difficulté dans la perception des tailles. La cour décrète que chaque propriétaire et possesseur doit faire le rapport exact de sa situation, par serment, pour ensuite régler les tailles dues, avant le vendredi 25 courant à l’hôtel de Ville.
Le secrétaire doit publier le présent avis au perron de la ville, après le son de la cloche donné pour la connaissance de chacun.
Le Couvent des sépulcrines de Waremme
Le 26 novembre 1638, le conseil de la ville autorise la prieure des Sépulcrines de Huy d’établir un couvent de son ordre à Waremme.
Le 17 juillet 1640, la dame LUCAS Anne, prieuse des Sépulcrines de Waremme, se rend acquéreur pour son couvent « d’une cour, maison, cortiseau et appendices qui appartiennent à BOUX Jean-Gisbert, située en la ville de Waremme, à la ruelle dite des Lombards. C’est dans cette maison que le couvent sera définitivement établi. Le couvent s’élève à l’emplacement de la future Place de l’Ecole Moyenne. Il forme un grand quadrilatère couvrant toute la future place.
Les religieuses fondent un pensionnat où elles donnent l’instruction aux jeunes filles. Il est très fréquenté, non seulement par les demoiselles de Waremme et des communes environnantes, mais également par des demoiselles du pays flamand, distant de 5 à 8 lieue.
Supprimé à la Révolution, cet établissement sera vendu, le 30 juillet 1797, pour 8.000 livres. Une partie sera dans la suite convertie en gendarmerie et maison d’arrêt, une autre sera affectée à l’école communale et à l’école moyenne. Lors de sa suppression, le couvent comptera douze religieuses et deux sœurs.