Jeanne Stouvenakers, sauvée (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, le pharmacien SAINT-GEORGES Joseph et son frère SAINT-GEORGES Lucien s’introduisent sous les décombres par l’ouverture qui a permis à HINNISDAELS Yvonne de sortir. Ils ont entendu une voix. Ils arrivent près de STOUVENAKERS Jeanne. Ses jambes sont bloquées par une grosse poutre en béton. Il l’a brise avec une masse. En raison de la corpulence de STOUVENAKERS Jeanne, il n’est pas possible de la faire sortir par l’ouverture par laquelle ses sauveteurs sont entrés. Il faudra la sortir par la cave voisine. Elle a une jambe cassée.

Les Salaisons « Stouvenakers » (Waremme)

Vers 1938, le magasin de salaisons, exploité par STOUVENAKERS Jeanne, au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme, est florissant.

Les fruits et légumes de Guillaume Stouvenakers (Waremme)

En juin 1944, STOUVENAKERS Guillaume vit avec sa soeur, STOUVENAKERS Jeanne, au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme.

Il exploite un potager rue Sous-le-Château. Il utilise l’étalage de salaisons de sa soeur pour vendre le surplus de légumes de son potager et les fruits de son potager.

Il a été charcutier. Il est toujours célibataire, comme sa soeur.

Jeanne Stouvenakers, commerçante (Waremme)

En juin 1944, STOUVENAKERS Jeanne exploite un petit magasin de salaisons, au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme.

Elle est âgée d’une soixantaine d’années et est toujours célibataire.

Elle vit avec son frère, STOUVENAKERS Guillaume.