En 1724, quelques prix (Waremme)

En 1724, quelques prix dans la région de Waremme – Hodeige:

    • 1 paire de souliers pour jeune fille: 2 f. 10
    • 1 tablier de coton: 1 f. 14
    • 1 robe de chambre pour étudiant: 25 florins
    • 1 aune de toile: 28 patars
    • 1 culotte de peau: 16 florins
    • 1 paire de chaussons de toile: 7 sous 7
    • 1 paire de bas de laine, avec doublure: 5 f. 10
    • 1 paire de bas de fil: 1 f. 15 p.
    • 1 aune de toile pour chemise: 12 sous 38
    • 1 corps de jupe pour jeune fille: 5 florins
    • 1 paire de souliers pour jeune fille: 2 florins
    • façon de 6 chemises: 2 florins 8 patars 1/2
    • 1 paire de manchettes à frasettes (?): 2 florins
    • 1 paire de bas: 4 florins 10
    • façon d’une culotte
    • 1 paire de bas pour homme: 5 f. 15
    • 1 faille de soie pour jeune fille: 28 f. 10
    • 1 paire de souliers pour jeune fille: 2 f. 15
    • 1 mouchoir pour jeune fille: 3 f. 10
    • 1 paire de bas pour jeune fille: 2 f. 10
    • 1 paire de gants pour jeune fille: 1 f. 5
    • 1 paire de bas pour homme: 5 florins
    • façon d’un habit pour jeune homme: 8 f. 13
    • 2 charrettes de houille (y compris la gabelle): 25 f. 5
    • 1 livre de tabac: 1 f. 15

En 1716, quelques prix (Waremme)

En 1716, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:

  • 1 livre de boeuf salé: 8 sous
  • 1 livre de sirop: 12 patars 1/2
  • 1 jambon: 3 florins 10 p.
  • 1 manne de pommes et 1 manne de carottes: 1 florin 15
  • 1 paire de guêtres pour jeune homme: 1 florin 15 sous
  • 2 paires de linceul et 4 taies d’oreiller blanches: 30 florins
  • 1 culotte de cuir: 11 florins
  • 1 surplis pour chanoine croisier: 78 florins
  • 1 paire de souliers pour jeune homme: 4 florins 10
  • 1 chapeau: 5 florins 10
  • 1 mouchoir de soie pour jeune fille: 1 florin 10
  • 1 paire de gants pour jeune fille: 1 florin 5
  • 1 paire de souliers pour jeune fille: 4 florins 10
  • 1 paire de bas pour jeune fille: 4 florins 15
  • 1 mouchoir pour jeune fille: 1 florin
  • 1 gobelet en argent pesant 6 onces 1/2 et 3 esterlins: 30 florins 7 1/2
  • pour la façon du gobelet: 5 florins
  • 1 bague en or avec 3 petits diamants (4 florins 17 sous pour l’or, 40 patars pour chaque diamant, 1 florin pour la façon)

Soirée d’aide aux victimes (Waremme – Sclessin)

Le 22 avril 1955, une grande soirée de gala est organisée en la salle des Variétés à Waremme, au profit des victimes de la catastrophe de Sclessin.

(L’incendie du cinéma « Rio » y a fait 39 victimes. Parmi celles-ci, une jeune fille de 13 ans qui a sorti des enfants des flammes à deux reprises, avant de périr à sa troisième tentative.)

François Humblet, journalier (Bleret)

En 1763, HUMBLET François est manouvrier à journée à Bleret, paroisse de Waremme. Son épouse est WARNOTTE Anne-Marie, travaillante à journée.

Il habite avec:

  • HUMBLET Marie-Joseph, sa fille, travaillante à journée, âgée de 27 ans
  • GELENNE Marie-Agnès, jeune fille (célibataire), travaillante à journée, âgée de 27 ans

Bauduin Boux, journalier (Waremme)

En 1763, BOUX Bauduin est manouvrier à journée à Waremme. Son épouse est GILAR Marie, travaillante à journée.

Il habite avec:

  • BOUX Marie-Françoise, sa fille, travaillante à journée, âgée de 23 ans
  • MACAR Elisabeth, jeune fille (célibataire), travaillante à journée, âgée de 25 ans

La veuve Willems, journalière (Waremme)

En 1763, WILLEMS Marie est travaillante à journée, à Waremme. Elle est veuve de FRAIPONT Pierre, de son vivant chartier. Il avait 2 chevaux.

Elle habite avec:

  • DIGNON Anne-Marie, jeune fille (célibataire), travaillante à journée, âgée de 20 ans.

Henri Bodenne, journalier (Waremme)

En 1763, BODENNE (BODEN ?) Henri, jeune homme (célibataire) est travaillant à journée à Waremme. Il est âgé de 40 ans.

Il habite avec:

  • BODENNE (BODEN ?) Agnès, sa soeur, jeune fille (célibataire), travaillante à journée, âgée de 36 ans
  • BODENNE (BODEN ?) Jeanne-Lucie, sa soeur, jeune fille (célibataire), travaillante à journée, âgée de 34 ans

Enlèvement de Marie-Jeanne Lemonnier (Bleret – Pousset)

Au début mars 1944, LEMONNIER Marie-Jeanne, une jeune fille de Pousset, est enlevée à la gare de Bleret, par des automobilistes inconnus. Elle sera exécutée par le Groupe « Zoro ».

Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.

DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.

D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.

En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.

Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !